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Souveraineté nationale et populaire

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Par   •  21 Novembre 2017  •  Dissertation  •  2 194 Mots (9 Pages)  •  867 Vues

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        •        Les verbes du premier groupe

        •        Tous les verbes en (er) sont les verbes du premier groupe, sauf le verbe (aller). Ils sont de verbes réguliers. Au présent de l’indicatif, ils ont les terminaisons suivantes : e –es –e –ons –ez –ent. 

        •        Le ‘’y’’ des verbes qui se termine par (yer) changent en ‘’i’’ devant un ‘’e’’ muet. Ce changement se fait généralement aux trois premières personnes du singulier. Mais les verbes qui se terminent par (ayer) ou (eyer) peuvent conserver leur ‘’y’’ dans la conjugaison des trois premières personnes au présent de l’indicatif.

        •        Les verbes qui ont un (e) ou un (é) à l’avant dernière syllabe de l’infinitif ; pour les conjuguer aux trois premières personnes du présent de l’indicatif on change leur (e) ou le (é) en ‘’è’’ devant la syllabe muette.

        •        Les verbes avec (e) comme : semer, peser, dépecer, mener donnent aux trois premières personnes du singulier un ‘’è’’ avant la syllabe finale.

        •        Les verbes avec un (é) tels que : célébrer, céder, régner, régler… changent également le (é) en ‘’è’’ aux trois premières personnes du singulier de l’indicatif présent.

        •        L’infinitif des verbes qui se terminent par (eler) et par (eter), comme –appeler –jeter doublent le ‘’L’’ et le ‘’t’’ aux trois premières personnes du singulier. Cependant, il existe douze (12) verbes qui se terminent par (eler) et par (eter) et qui sont les plus souvent employés ne se conforment pas à cette règle. Ils conservent leur ‘’L’’ ou leur ‘’t’’ plus les terminaisons ordinaires des verbes de l’indicatif présent. Si nous voulons ajouter une remarque, nous soutiendrons qu’on pose un accent grave sur le ‘’e’’ de l’avant dernière syllabe. Ces douze verbes sont : peler –celer (déceler, receler) –atteler –marteler –modeler –geler (congeler, décongeler, regeler, surgeler) –écarteler –fureter –démanteler –crocheter et ciseler. 

        •        Les verbes comme mette –battre  perdent un ‘’t’’ aux trois premières personnes du singulier. À ce ‘’t’’ final, on ajoute les terminaisons s –s en conservant le t de la troisième personne du singulier.

        •        Tableau Récapitulatif

Balayer, broyer, nettoyer

Semer, dépecer, mener

Célébrer, céder, régner

Je balaie

Tu balaies

Il/elle balaie

Ns balayons

Vs balayez

Ils balaient

Je sème

Tu sèmes

Il/elle sème

Ns semons

Vs semez

Ils sèment

Je cède

Tu cèdes

Il/elle cède

Ns cédons

Vs cédez

Ils cèdent

Appeler, jeter

Acheter, geler, celer

Mettre, battre

Je jette

Tu jettes

Il/elle jette

Ns jetons

Vs jetez

Ils/elles jettent

J’achète

Tu achètes

Il achète

Ns achetons

Vs achetez

Ils achètent

Je mets

Tu mets

Il/elle met

Ns mettons

Vs mettez

Ils/elles mettent

        •        Les verbes du deuxième groupe

Tout les verbes en ‘’ir’’ dont le participe présent est en ‘’issant’’ sont les verbes du deuxième groupe. Ce sont des verbes réguliers, leurs terminaisons ÉTUDE DE LA PHRASE

USAGE DES QUATRE TEMPS SIMPLES

Les derniers rayons du soleil avaient filtré entre les dentelures des nuages. Au couchant, des vagues de vapeurs se sont délayées lentement. Au levant, des signes manifestes de la nuit  étaient présentés. L’on avait aperçu les toits, les mosquées hérissées de leur minaret. Il y avait également les grands arbres : flamboyants, fromagers, calcédrats qui dirait-on avaient flambés sous les rayons jaunes du crépuscule. Un rayon avait frappé de plein fouet la résidence du gou

verneur, Koulouba.

Au centre de la ceinture de collines, étaient dressées les maisons de terre battue. Les herbes sèches avaient entouré ces habitations. On avait senti la chaleur du midi. On avait transpiré un peu. Le vent chaud du nord était orienté vers la résidence. Cette résidence avait brillé encore de sa blancheur.

C’était un après-midi de mi-octobre, à la fin de la saison des pluies. Comme de coutume à pareille heure, les femmes de Bakayoko-so s’étaient réunies dans la cour. Elles avaient jacassé comme des oiseaux babillards. Elles avaient parlé tous en même temps. Elles ne s’étaient plus écouté dans leur conversation. Chacune avait voulu se faire entendre et avait voulu dire tout ce qu’elle avait pensée. Assise un peu à l’écart, le dos était appuyé contre le mur de terre argileuse, la vieille Niakoro.

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