Management des entreprises
Étude de cas : Management des entreprises. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar l__marine • 29 Décembre 2018 • Étude de cas • 644 Mots (3 Pages) • 435 Vues
Management des entreprises
DEVOIR 2
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Question 1 :
D’après la typologie de Likert, sur les 5 dernières années, Marie-Louise à un style de direction autoritaire (elle ne participe pas aux décisions, n’accorde pas de confiance, communique très peu avec ses employés et ses collaborateurs, et prend des décisions sans demander l’avis de qui que ce soit). En se référant à la typologie de Blake et Mouton, on eut voir qu’elle a un style 9/1, c’est à dire qu’elle recherche l’efficacité sans tenir compte du facteur humain.
Cependant, le style de direction de Jean-Charles depuis la création de Numériperf et bien différent de celui de Marie Louise. D’après la typologie de Likert, il a un style consultatif (Jean Charles accorde beaucoup de confiance mais tout reste sous contrôle, il communique intensément et cherche à avoir plusieurs avis avant chaque prises de décisions). Puis d’après la typologie de Blake et Mouton il a un style 5/5, c’est à dire qu’il chercher à avoir un équilibre entre les nécessité ; production et maintien du moral.
Question 2 :
L’entreprise Numériperf a plusieurs DAS, comme : le codage du logiciel, la gestion de paie et des ressources humaines, la gestion relations clients et des stocks.
Question 3 :
Les parties prenantes d’une entreprise regroupent les parties prenantes internes (les dirigeants, les actionnaires, les salariés) et les parties prenantes externes (les clients, les fournisseurs, les concurrents, les pouvoirs publics).
Sur les 10 premières année, les dirigeants Marie-Louise et Jean-Charles, ont tenus compte des attentes des principales parties prenantes de l’entreprise. Ils ne privilégiaient par leur intérêt personnel au détriment de l’interêt global de l’entreprise. Par exemple, Marie-Louise proposait des hausses de rémunération régulières, d’un système d’horaire modulable.
Les salariés étaient donc épanouis, heureux de venir travailler pour Numériperf.
Le suivi des clients ayant acheté un logiciel était l’un de leur points forts. La disponibilité et le savoir de leurs formateurs pour répondre aux questions des utilisateurs étaient un point fort pour le service après vente. Les formateurs étaient souvent remerciés.
Tout était idéal, autant pour les salariés que pour les clients mais aussi pour l’ambiance générale de l’entreprise.
Question 4 :
La rationalité limitée limite l’accès à l’information (s’informer demande à la fois des ressources en terme d’argent et de temps), montre une vison floue des préférences et dispose de capacité cognitive de satisfaction (n’optimise pas ses choix, c’est à dire sélectionne objectivement le meilleur de tous les choix possibles, ou sélectionne le meilleur choix possible du point de vue de ses propres critères).
Le recrutement de Jérôme par Marie-Louise montre bien un comportement fondé sur la rationalité limitée. Marie-Louise devait vite trouvé un chef pour son nouveau département, elle ne posa aucunes questions sur le type de mission réalisé par Jérôme pour chacune de ses expériences. Elle était dans le besoin, elle s’est donc précipité sans approfondir les compétences de Jérôme.
Question 5 :
Les principaux problèmes de management sont la prise de décision trop rapide, ce qui va modifier la gouvernance de l’entreprise. Par exemple la création d’un nouveau département et le recrutement de Jérôme pour le poste de chef du département. Cette prise de décision radicale a eu des effets négatifs sur l’ambiance de l’entreprise et sur les échanges entre Marie-Louise et Jean-Charles.
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