La Soulterie

Question 1 : Précisez, en justifiant votre réponse, si La Soulterie relève d’une logique entrepreneuriale ou managériale. Si nécessaire, vous expliciterez vos propos en vous référant à l’approche de J. Schumpeter.

La société La Soulterie relève d’une logique entrepreneuriale car Alain et Conception PREVALMA ont repéré une opportunité : ils ont décidé d’acheter cette librairie qui était petite au départ pour l’agrandir par la suite. Ils ont également crée des emplois et recruté du personnel.

Ensuite, ils avaient tous les deux un objectif sur le plan humain a réaliser, à savoir acquérir des responsabilités et gagner leur indépendance en occupant le statut d’entrepreneur.

Ils ont quitté leur postes de salariés d’un groupe d’industrie international pour se lancer « par hasard » dans l’achat d’une librairie sans être passionné par la littérature, la bande dessinée, les ouvrages sociologique etc... Alain innove, crée et Conception a réussi à sauvegarder les fichiers clients de l’ancien dirigeant.

On remarque, les risques qu’ont pris Alain et Conception PREVALMA et cela rejoint l’approche de l’économiste Schumpeter sur l’entrepreneuriat à savoir que l’innovation est source de croissance et facteurs de risques. Le couple PREVALMA ont acheté une société en prenant un risque dès le départ.

Question 2 : Identifiez les finalités que les deux dirigeants de la Soulterie cherchent à atteindre pour son entreprise.

Les deux dirigeants cherchent à atteindre des finalités pour leur entreprises.

La première la finalité économique qui est de réaliser des profits et assurer sa pérennité. L’entreprise La Soulterie s’est agrandie car les dirigeants ont investis sur l’achat de nouveaux locaux et sur de nouveaux salariés. Ils ont mesuré l’impact de la localisation des petits commerces de proximité qui rencontre un grand succès auprès de la clientèle.

Aussi, son emplacement à la périphérie de Paris a permis à Alain PREVALMA de se lancer dans la vente aux collectivités. Nous remarquons, que les deux dirigeants cherchent à développer leur chiffre d’affaires.

De plus, il y a également une finalité sociale car les deux entrepreneurs ne sont que bacheliers l’un en électronique et l’une dans le secrétariat. Ils se sont lancés directement dans la vie active en tant que salarié dans l’industrie d’un groupe international. Ils ont pleinement conscience de leur parcours et embauchent plusieurs profils et plusieurs contrats, ils ont recrutés un chauffeur-livreur, une l’assistante de gestion, des étudiants en CDD et un groupe de manutentionnaire.

Enfin, il y a une finalité sociétale car Conception PREVALMA a décidé d’ouvrir son association « Prim’livre » pour permettre de réparer les livres d’occasion afin de les distribuer à des bibliothèques à petits budgets qui cherchent à promouvoir la lecture car le public dans certains milieux ne lisent quasiment pas. Son association aide et soutient les jeunes auteurs pour la section livre jeunesse car ils rencontrent des obstacles avec les maisons d’édition.

Question 3 : Indiquez si, selon vous, la Soulterie est une entreprise performante.

L’entreprise La Soulterie a été performante a ses débuts et jusqu’à sa 15ème année.

Au début, les deux entrepreneurs ont acheté des nouveaux locaux, recrutés beaucoup plus de salariés et généré un gros chiffre d’affaires. Cependant, à sa 15ème année l’entreprise n’est plus performante car elle rencontre des difficultés. En effet, Alain PREVALMA avec les années qui suivent manque d’organisation, d’enthousiasme et commet des fautes de gestion.

Les deux entrepreneurs rencontrent des difficultés qu’ils ont dû mal à gérer.

Nous remarquons que Alain PREVALMA est négligeant car il oublie et perd parfois les dossiers que lui remettent le commercial. Ceci entraîne des conséquences néfastes puisqu’il n’a pas pu décrocher des nouveaux marchés car les dossiers étaient hors délais. Ils perdent ainsi des contrats qui aurait pu être renouveler.

Cela entraîne aussi un effet domino sur les livraisons qui prennent souvent du retard. Elles s’accumulent à cause du manque d’effectifs et de manque de ressources logistiques.

Ainsi, les clients ne sont pas satisfaits et annule des commandes pour se diriger vers d’autres fournisseurs.

De plus, la banque refuse de plus en plus de levée d’emprunt au dirigeant Alain PREVALMA. L’échange avec le nouveau directeur de banque devient tendu par rapport à l’ancien directeur ou la communication était amicale. Il n’y a plus la motivation d’auparavant où les deux dirigeants avait créé et innové l’entreprise La Soulterie.

Enfin, nous pouvons constater que l’entreprise La Soulterie a été performante auparavant mais 15 années après elle a rencontré des obstacles et des difficultés, elle n’est plus aussi performante.

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