Le cas La Soulterie
Étude de cas : Le cas La Soulterie. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Evaaaaz • 28 Février 2017 • Étude de cas • 969 Mots (4 Pages) • 872 Vues
Management des entreprises : Devoir 1 :
Analyse de la situation de l’entreprise
Question 1 :
La Soulterie, librairie de vente aux particuliers et aux collectivités implantées dans le Val de Marne, relève plutôt d’une logique entrepreneuriale qui est fondée sur la prise de risques ainsi que sur la créativité. Selon Schumpeter, un entrepreneur est caractérisé comme une personne étant pleine d’innovation, qui n’hésite pas à prendre des initiatives, des risques. Il a aussi un esprit créatif et autonome. C’est aussi une personne qui a des caractéristiques d’un point de vue humain et qui peut se matérialiser par une reprise d’entreprise. Ceci caractérise donc bien l’entreprise de M & Mme PREVALMA. En effet pour eux c’est la réalisation d’un objectif humain plus que la mise en œuvre d’une passion. Ils ont aussi pris plusieurs risques comme se lancer dans une librairie « un peu au hasard, par un concours de circonstances opportunes ». De plus, ils ont réalisé ce projet pour gagner en autonomie dans leur vie professionnelle et c’est aussi surtout aussi un accomplissement de soi surtout pour Alain qui lui a beaucoup d’imagination.
Question 2 :
Les deux dirigeants de la Soulterie cherchent à atteindre plusieurs finalités pour leur entreprise. En effet elle a des finalités financières, économique et sociétale.
Tout d’abord elle cherche à atteindre des finalités financières (maximiser le profit) en maintenant son activité, donc avoir une entreprise pérenne, en y développant aussi son volume c’est-à-dire le chiffre d’affaires, le nombre de clients et en ayant une rentabilité multipliée par 10 entre la 1ère et la 13ème année.
De plus, elle a aussi une finalité économique puisqu’elle vend des produits sur un marché afin de développer sa croissance.
Enfin, elle a une finalité sociétale puisqu’elle cherche à atteindre une certaine responsabilité morale vis-à-vis de la société. En effet, avec La Soulterie elle a créée l’association : « Prim’livre ». Celle-ci récupère des livres d’occasion pour les distribuer à des bibliothèques à petits budgets qui cherchent à promouvoir la lecture dans des milieux où le livre n’a pas toujours la première place. Son association lui permet aussi d’aider de jeunes auteurs pour la jeunesse à se lancer afin de soutenir une création culturelle que les critères classiques de rentabilité des maisons d’éditions ne permettent pas toujours d’éditer.
Question 3 :
Selon moi, la Soulterie n’est pas une entreprise performante (la mesure de la performance permet de comparer les résultats obtenus avec les objectifs initiaux et de mettre en évidence des écarts significatifs)car elle n’a pas réussi à atteindre toutes ses finalités et objectifs. En effet à l’approche de sa 15ème année d’existence plusieurs difficultés apparaissent.
Tout d’abord, des dossiers sont rendus hors-délais ce qui empêche l’acquisition de nouveaux marchés et ce qui entraîne la perte de certains contrats arrivés à renouvellement.
De plus, les retards des livraisons s’accumulent, les effectifs et les ressources logistiques ne sont plus suffisants, le renouvellement des promesses non tenues à conduits
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