Devoir 1 management, La Soulterie

Devoir 1 Management

Analyse de la situation de l’entreprise.

Question1 :

Schumpetter, estime que l’entrepreneur, a vocation à prendre des initiatives et à créer. Ainsi, il prend des risques en innovant et implique une capacité à se projeter et à anticiper.

De ce fait, la logique entrepreneuriale implique la création d’une nouvelle entreprise ou à la reprise d’une activité existante.

Par contre, la logique managériale repose sur une volonté d’optimiser les ressources techniques, financières et humaines présentes dans l’entreprise pour améliorer ces performances et rendements économiques.

Dans le cas de la Soulterie, Alain et Conception viennent de milieux professionnels très loin de celui de la librairie. C’est alors un très bon exemple de reconversion professionnelle, et cela à alors impliqué une grande prise de risque  pour nos deux associés n’ayant pas d’expérience professionnelle dans le domaine.

C’est ainsi qu’ils ont créés La Soulterie dans une logique entrepreneuriale en prenant des risques et en innovant. En effet, ils ont su conserver leurs anciens clients, et ont rapidement innover dans de nouveaux projets locaux grâce à leur dynamisme. Puis peu après, ils ont fait preuve d’audace en se faisant une place dans un marché de la vente aux collectivités oligopole contrôlé par trois grandes librairies.

Cela démontre bien du dynamisme et de la vocation employé à prendre des initiatives et à innover dans une logique entrepreneuriale.

Question 2 :

La première finalité recherchée par nos deux dirigeants  en s’investissant dans la Soulterie, était d’abord de répondre à un désir personnel d’autonomie basé sur une envie de se sentir indépendant et responsable.

Puis la volonté de finalités sur le plan financier est recherchée. En effet, nos deux dirigeants innovent dans de nouveaux projets pour augmenter toujours plus le nombre de ventes dans le but de maximiser les profits réalisés et la rentabilité.

De plus, parallèlement, l’entreprise développe des finalités économiques et sociales. En effet, une association « Prim’livre » créé par La Soulterie, repose sur un principe d’aide à la création culturelle et au partage et non sur la rentabilité. Et cette entreprise, a fait preuve au début de son activité de sérieux et a assuré un service de qualité pour satisfaire sa clientèle et la développer.

Mais encore, l’entreprise s’attarde sur les finalités sociétales car elle veille à la création de nombreux emplois bien répartis, dont beaucoup de salariés choisis sur recommandation.        

Question 3 :

Nous remarquons, que la Soulterie a été performante à ses débuts. Dès sa création, la Soulterie a su pérenniser son activité, développer sa clientèle, s’intégrer dans de nouveaux marchés, améliorer sa rentabilité, optimiser la gérance de ses commandes et offrir un service de qualité.

Cependant, arrivée à sa quinzième année d’existence, sa performance a diminué et l’entreprise à commencer à perdre sa clientèle, de nombreux contrats et opportunités de marchés. Les objectifs en termes de gérance n’ont plus été atteints et de nombreux retard de livraisons sont apparus. la rentabilité n’était plus optimisée, malgré une augmentation des ventes, car les ressources de biens immobilisés étaient mal géré (entrepôts vides plusieurs mois par an).De même, les partenaires économiques de l’entreprise telle que la banque ne faisait plus confiance à celle-ci.        

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