Management des entreprises
Étude de cas : Management des entreprises. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar StaicyWyla • 6 Mai 2019 • Étude de cas • 902 Mots (4 Pages) • 539 Vues
CAS D’ENTREPRISE
Introduction :
Les entreprises sont très diversifiées aussi bien dans leurs activités que dans leur dimension au bout d’un changement de structure. Pourquoi ces différences de taille ? C’est une question qui se pose à un moment donné de l’observation d’un point de vue statique mais la réponse ne peut y être apportée que par une perspective dynamique, situant la vie de l’entreprise dans sa durée. Au cours du temps, certaines entreprises disparaissent, d’autres qui fonctionnent au ralenti et enfin, beaucoup croissent et se développent. La société Pindère, une grande entreprise du secteur de la chaussure depuis les années 1990, n’est plus aujourd’hui qu’une PME mais une PME dynamique qui a su survivre aux facteurs de décroissement en adoptant des stratégies pertinents pour rivaliser avec la croissance de développement.
Développement :
Dans beaucoup d’activités, la croissance est une condition de survie des entreprises. Seule une taille plus grande permet de ne pas subir de handicaps concurrentiels incontournables. Dans d’autres situations, la croissance est un moyen de réalisation des finalités de l’entreprise qui peut être profitable, rentable, ou jouer sur la notoriété.
En avril 2004, l’entreprise Pindère a fait face à des problèmes en raison de ses deux filiales en cessation de paiements de fait qu’il y a eu une restructuration efficace de 1800 personnes à 700 personnes en l’espace de dix ans mais le fabricant de chaussures du Choletais a dû surmonter un coup dur avec l’annonce du dépôt de bilan de Pindière SA et Barbault, deux sociétés du groupe Pindière. Par la suite, avec un capital de 1,2 million d’euros, Pindière a pu passer le cap financier et se renouant à ses usines du Maghreb, au Maroc et en Tunisie, pour se tourner en se croisant vers l’Asie du Sud-Est pour faire face à ses concurrents. De plus, la société Pindière se voile par une dette liée à un emprunt contracté en 1995 pour l’achat de deux sociétés dans la chaussure enfant Vendée, Inova et Virona dont seule Vendée a pu être conservée. En sus de cela, les facteurs qualitatifs (KPI) de Pindière n’a pas incité un volume de facteurs de production de la main d’œuvre et n’a pas complètement aboutie à des produits commercialisés progressives que ce soit pour la ventes ou la part de marché, ainsi que des résultats progressifs qui peut être bénéficiant.
Cependant, une entreprise ne peut croître indéfiniment sans une modification importante de sa structure et de ses activités. Les produits se modifient, la gamme s’élargit, l’organisation interne se perfectionne et la technologie intègre des innovations mais que choisir pour se développer : croissance interne ou externe ?
Toutefois, en mai 2008, Pindière qui croit toujours à la chaussure française a trouvé son équilibre entre la délocalisation en Chine et une production haut de gamme en France. L’entreprise a saisi les opportunités en se lançant pour des produits nouveaux après cinquante ans d’existence, demeurant une référence de spécialisation dans la chaussure femme. Cela montre qu’au cours de sa phase d’expansion le produit se développe aujourd’hui en une PME de 150 salariés à un groupe de
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