« Relations internationales » Emmanuel Tawil

Le résumé

« Relations internationales » Emmanuel Tawil

      Emmanuel Tawil est l'auteur de livre « Relations Internationales ». Il est un avocat et universitaire français, maître de conférences HDR à l'université de Paris II Panthéon-Assas. Il enseigne à l'Institut catholique de Lyon et à l'Institut catholique de Paris où il a dirigé la licence de droit et sciences politiques. En tant qu'avocat, il est notamment connu pour avoir défendu les familles des victimes lors du procès de Gdim Izik. Emmanuel Tawil est spécialisé en droit public — en particulier en droit des cultes et en relations internationales — et y a consacré plusieurs ouvrages. Il s'intéresse également à la laïcité dont il déplore l'instrumentalisation ainsi qu'aux relations entre le Saint-Siège et les autres États.

      Le livre a trois parties « Les auteures originaires des relations internationales », « Le multilatéralisme, cadre des relations internationales » et le dernier c’est « Les fins des relations internationales ». Chaque partie a des titres et des chapitres, des sections qui décrivent les sujets actuels dans le mode. Le matériel commence par l’histoire des relations internationales qui crée le droit international modern.

     Introduction : L’Introduction c’est un début qui constate un objet d’étude et un discipline. L’objet d’étude est les relations entre nations. La discipline est la science universitaire qui porte sur objet d’étude. On souligne la notion des relations internationales, quand on parle de cela on peut aussi utiliser des relations entre des organisations non gouvernements, forces religieuses et etc., mais ce ne sont pas des relations entre individus. Dans une introduction il a y des caractéristiques générales des relations internationales : ils relevant du droit international et ils sont plus que les relations diplomatiques.

    Intégralité du cours : L’histoire des relations internationales dans un manuel commence par L’Empire romain ou les romains ne connaissent pas la notion des relations internationales. On peut voir que L’Empire est chrétien. Dans la perspective de L’Empire romain chrétien, au IVe siècle, on insiste sur le lien entre unité de l’Empire et unité de l’Église, tout en admettant une pluralité d’empereurs. C’est point test important. Après la chute de l’Empire romain on a apparu beaucoup d’acteurs. Les populations qui avaient été au contact de l’Empire depuis un temps plus ou moins long, ils essayer construire des Empires propres. Par exemple, La France, Le Saint-Empire romain germanique, L’Empire byzantin, L’Italie et etc. L’islam se répand aussi très vite vers l’Occident au VIIe siècle. D’abord par L’Afrique du Nord vers l’Est. Le monde musulman sera au contact permanent de L’Occident et de l’Orient chrétien. Au XIe siècle les relations entre corps politiques apparaissent comme fondées sur une pluralité de règles. Il y a d’abord un ensemble de règles découlant du droit féodal et des règles posées par l’Église (par exemple La trêve de Dieu, c’est –à –dire l’interdiction de se battre). Le XVe siècle c’est une naissance des relations internationales modernes majeur. La disparition de Byzance, reconquête de l’Espagne et découverte de L’Amérique, La Réforme protestent (au début du XVIe siècle). Tous a provoqué le changement du panorama politique. Cette époque est caractérisée par la premier colonisation européenne et la formation du droit international en particulier le droit diplomatique. C’est le période des premières législation permanente et de la fixation des usages diplomatiques.

     Les relations internationales au XIXe siècle : la primauté de l’Europe : La fin du XVIIIe siècle et le XIXe siècle on voit l’apparition de quelques nouveaux États issus de la décolonisation : États-Unis d’Amérique au lendemain de la guerre d’Indépendance (1776-1783) et anciennes colonies de l’Espagne en Amérique latine.

    Avec la déclaration de guerre faite par la France en 1792 s’ouvre une période qui change la physionomie de l’Europe. Il y a un traité dans cette période. C’est La Saint- Alliance qui conclu ente Prusse, L’Autriche et La Russie. Il a caractère quasi mystique. La Quadruple Alliance réunit les signataires de la Sainte- Alliance auxquels se joint le Royaume-Uni. Le traité est signé en novembre 1815. L’un de ses objets est d’empêcher le retour au pouvoir de Napoléon ou d’un membre de sa famille ainsi que le retour à un régime républicain en France. Dans ce siècle on voir la nouvelle notion c'est un « concert européen ». On parle de « concert européen » pour de ́signer la coopération entre États européens dans un cadre informel.

    Nationalismes en Europe et expansion coloniale est le moment essentiel dans un XIX siècle. L’Europe est marquée par les nationalisme : le nationalisme allemand ; le nationalisme italien, qui aboutit également à l’unité italienne en 1870, autour de la Maison de Savoie ; le nationalisme hongrois, qui aboutit au compromis de 1867 (au sein de la double monarchie) ; le nationalisme grec, etc. L’expansion colonial est dirigée vers l’Extrême-Orient (la Chine et le Japon, sans être annexés, se voient oblige ́s d’ouvrir leurs marche ́s commerciaux), vers l’Afrique, vers l’Océanie.

     Les coopérations techniques. Se développent à cette époque diverses formes de coopération technique. La Commission centrale pour la navigation du Rhin en est un exemple. L’Acte final du congrès de Vienne consacre, en 1815, le principe de la liberté de navigation sur les cours d’eau internationaux.

     La cour permanente d’arbitrage.  En 1899 et 1907, à l’initiative de la Russie, pendent deux conférences de la Haye, ont adopté des conventions très importantes, toujours en vigueur, relatives au droit de la guerre. A aussi été créé une Cour permanente d’arbitrage. Toutes les puissances européennes ont signé ce texte.

     Le XX siècle (1914-1989) on montre l'émergence, consolidation et déclin d’un clivage bipolaire. En 1914, on présente souvent le conflit mondial comme inéluctable, la Triple-Entente (France, Russie, Angleterre) s’opposant à la Triplice (Allemagne, Autriche-Hongrie et Italie), la militarisation de l’Europe. Toute l’Europe est dirigée par des monarchies, La guerre de 1914 oppose les Empires centraux (Allemagne, Autriche-Hongrie et Turquie) aux Britanniques, Français et Russes. En 1917, les États-Unis entrent en en guerre aux cotés des Français et des Britanniques, tandis que la Russie soviétique sort de la guerre. Pendant la guerre, sur fond de discours nationaliste, la France revendique l’Alsace-Moselle, l’Italie revendique le Tyrol, Trieste, etc. Ces revendications nationalistes sont exacerbées par le discours de janvier 1918 du président Wilson. Ses 14 points définissent les buts de guerre des États-Unis, parmi lesquels on trouve : le retour de l'Alsace- Moselle à la France (point 8); faire droit aux prétentions italiennes à un redécoupage des frontières (point 9);

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