Introduction générale au droit, Définitions de droit

: DefinitionS du droit

La définition du droit est en constante évolution. La définition du droit à énormément varié selon les lieux et les dates.

Notre définition du droit : ensemble des règles produite par l'état → cela n'est qu'une dentition et la notre en tant que français.

Toute définition du droit s'inscrit dans l'une des deux grandes écoles de pensées de la def. Le positivisme ou l’idéalisme juridique.

Positivisme juridique : le droit est un ensemble de règles posées voir même imposées. Il se découpe en deux sous catégories : → règles posées par l’État : positivisme étatique

→ règles posées par les groupes sociaux. Positivisme sociologique. (coutumes, usages locaux) .

Idéalisme juridique : Le droit se confond avec l'idée de justice. Le but du droit est de faire respecter la justice et d assurer dans la société le respect envers une justice idéal. Le droit se défini comme un ensemble de règles au service de la justice. Si la loi écrite n'est pas « juste » alors l'idéaliste ne considère pas cette dernière comme loi et droit.

A notre époque pronne le positivisme juridique et presisement de positivisme étatique. La meilleure preuve est l'enseignement du droit → on prendra les codes et le droit est comprit dans les codes. Les coutumes cependant conserve une place (mineure) par exemple dans le milieu commerciale (positivisme sociologique).

Section 1 : Idéalisme juridique :

Idéalisme : associé l'idée de droit à l'idée de justice.

I : Trad Grec

A) Platon et la naissance de l'idéalisme

Platon se fait l'écho de Socrate. La justice n'est pas atteint lorsqu'on se conforme au loi les lois de la cité (rejet positivisme). En revanche le comportement juste est celui qui préserve la santé de la société. Or la société est assimilé à un corps humain. La différence entre Platon et nous c'est l'individualisme. Or a l’époque de Platon cette idée n'existait pas

B) Aristote, la théorie du droit naturel classique.

Aristote c'est l auteur de référence en matière de droit antique → l’éthique à Nicomaque. C'est d'abord un livre de moral qui explique les bons et mauvais comportement, où est la vertu et où sont les vice. Les bonnes actions sont celles qui permettent de réalise le bien commun au sein de la société. Le bien commun c'est la finalité de toute vie en société: paix, amitié et justice et c'est seulement lorsque ces éléments sont réunis alors il y a bien communs.

Paix : Absence de conflits entre les membres de la cité (intérieur) (police). Lorsque la cité n’est pas en guerre ou risque de guerre (extérieur) (armée).

Justice: Il y a justice lorsque les membres de la cité possèdent réellement les biens qui leurs sont du. C'est une justice économique. Nul ne peut se faire justice à lui même. La justice est confié à un juge. Il considère que la justice eco se divise en deux opération: commutations et distributions.

Commutation : échange de bien ou de services librement acceptés (ex: vente, échange, troc, contrat de travail, bail.)

Distribution : elle suppose de mise en communs de bien par plusieurs individus pour une fin économique et la répartition des bénéfices (sociétés, entreprises)

Amitié : Chacun manifeste envers l autre une bienveillance réciproque. Elle aboutir à une abandon de bien perso pour le bien d'autrui.

Aristote valorise une conception relationnelle de la justice. Le droit naturel est le fruit de l'activité rationnelle

Et si ces éléments ne sont pas réunis alors il n'y a pas société.

II) pensée chrétienne

A) Saint augstin

Les lois profane sont necessairement des lois injuste car il n'y a pas de veritable justice sans adésion a Dieu. Le droit ne peut etre que dans les écritures saintes. Pour lui religion et droit se resumé à la religion. Les commandements de dieux prevalent sur les lois humaine. Les lois ne peuvent s appliquer que si elle respecte les paroles de dieu. Notre société connait une monté de cette idée avec l'islam politique.

B) Saint Thomas daquin

Il ecrit au XIIe siecle et reagit à la these de St augustin. Soc extremement violente, le besoin sacral ne repond plus au besoin de la société. Ces normes « idéalle » si l'homme les suit il ne survit pas. Des lors, la philosophie chretienne recherche une maniere de definir le droit a la fois en respectant la religion et qui s adapte a la violence de l'epoque. Il

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