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Management dev1 la soulterie

Étude de cas : Management dev1 la soulterie. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  24 Janvier 2019  •  Étude de cas  •  889 Mots (4 Pages)  •  509 Vues

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Question 1 :

La société La Soulterie relève d'une logique entrepreneuriale à cause des raisons suivantes :

Pour commencer, M et Mme Prevalma n'ont aucunes connaissances en littérature et se sont lancer dans une librairie « un peu au hasard ». En effet, ce n'est pas leur domaine d'origine, ils viennent tout les 2 de l'industrie. Ils ont quitté leurs postes ou ils ne sentaient aucune évolution possible pour l'avenir, ils ont pris le risque de reprendre la librairie car ils ont senti une opportunité à saisir.

Le début de la logique entrepreneuriale est la volonté de créer ou de reprendre une activité et donc de ce lancer un défi. Cette volonté de prise de risque est expliquer par Schumpeter comme l'une des caractéristiques principales de l'entrepreneur. Pour finir, M.Prevalma ne cesse de s'interroger sur les solutions possibles qui permettraient une expansion de ses activités. Il va ouvrir de nouveaux marchés à son entreprise en faisant des appels d'offres auprès des collectivités locales. Il a permis la promotion de sa librairie en créant un compte de fidélité inter-commercant. Il innove et ont ressent une grande implication pour son entreprise.

En conclusion, M.Prevalma va rechercher et créer des opportunités ainsi que la conception d'innovation pour son entreprise, ce qui s'inscrit dans la logique entrepreneuriale.

Question 2 :

Nous allons distingués deux finalités pour La Soulterie. L'une est économique et relève de M.Prevalma, l'autre est sociale et relève de Mme.Prevalma.

Donc M.Prevalma va se concentrer sur l'expansion des activités commerciales de sont entreprise, notamment en cherchant de nouveaux marchés (appel d'offre), en investissant les bénéfices dans des locaux et en engageant du personnel qualifié.

Puis Mme Prevalma quand à elle a crée une association « prim-livre », qui redistribue des livres d'occasions aux bibliothèques qui ont des budgets limités et qui souhaite introduire la lecture dans des zones défavorisés. Puis son association favorise la mise en avant de jeunes auteurs qui se retrouvent confronter à la politique de rentabilité des maisons d'éditions.

Question 3 :

Selon moi, La Soulterie était performante à ses débuts, mais ne l'est plus maintenant. Au début l'entreprise a connue une croissance constante grâce aux mesures mises en œuvres par les propriétaires. Son ouverture à de nouveaux marchés à été favorable, l'entreprise a plus acquérir de nouveaux locaux, de nouveaux entrepôts et ainsi augmenter sa clientèle et sa masse salariale. Cependant, a cause du manque de compétences des propriétaires dans ce domaine, l'expansion de l'entreprise à trouvé ses limites. L'entreprise d'une taille plus importante qu'à ses débuts, ne convient plus avec le style de direction autoritaire de M Prevalma. Il ne délègue aucunes de ses tâches et n'a plus le temps de s'occuper de ses employés, ce qui entraine une baisse de productivité de l'entreprise et des salariés, et donc une perte de la clientèle. Puis en ne respectant pas les contraintes temporelles des décisions commerciales de ses fournisseur il perd des opportunités et donc des ouvertures vers de nouveaux marchés. Enfin, pour finir, le chiffre d'affaire de l'entreprise est à un niveau convenable, sauf qu'avec la masse salariale, les entrepôts inutilisés et la clientèle en chute, son taux de rentabilité a chuté au bout de 15 ans et tout cela prouve bien que l'entreprise n'est plus performante.

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