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Commentaire de texte naturalisme

Dissertation : Commentaire de texte naturalisme. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  8 Avril 2020  •  Dissertation  •  600 Mots (3 Pages)  •  1 461 Vues

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Le naturalisme est un mouvement littéraire de la seconde moitié du XIXème siècle (1860-1990) aussi définie comme la continuité du mouvement réaliste. Le naturalisme cherche à aller plus loin que le réalisùme en s'inspirant des méthodes scientifiques pour faire faire du roman un lieu d'expérimentation. L'écrivain naturaliste utilise un vocabulaire technique, un narrateur scientifique et une énnonciation technique, un narrateur scientifique et une énnonciation objective. Le naturalisme veut reproduir la réalité sans l'embellir, écrire le vrai, a un romancier objectif avec un roman mirroir de la société, une influence des sciences, observer l'hérédité et le milieu d'un personnage. Lors de ce mouvement, plusieurs auteurs y sont associés, comme Guy de Maupassant avec Bel ami, Hyusman avec La retraite de Monsieur Bougrand ou encore Zola avec L'Innondation. Celui-ci; fils d'un ingénieur italien, en 1862, quelques années après avoir arrêter ses études, est engagé par la librairie Hachette et devient rapidement par la suite journaliste. Mais il quitta celle-ci ppur devenir en 1866 un écrivain "à part entière". En 1874, il rédige Le Forgeron, une des recueil Nouveaux Contes à Ninon. Cette nouvelle raconte le séjour de Zola, (étant le narrateur dans cette nouvelle, pouvant donc en déduire comme une auto-biographique.) chez un forgeron, en Normandie. Comment le forgeron est-il vu comme un dieu seulement par son portait physique? Nous étudirons dans cette extrait le portrait du forgeron, puis sa métamorphose en dieu.

Tout d'abord, le forgeron détient un portrait physique mit en avant par l'auteur. Nous remarquons qu'il est en bonne santé malgré son âge. Comme le dit l'auteur, "Il semblait porter ses cinquante ans plus gaillardement encore qu’il ne soulevait « la Demoiselle, » une masse pesant vingt-cinq livres". L'adverbe "gaillardement", signifiant de porter d'une manière gaillarde ; avec entrain, montre qu'il n'a donc aucun soucis à soulever un point de vingt-cinq livre, soit 12Kg, sachant que dans une forge, la température est très élévé, étant un endroit presque étouffant. Et de plus, son métier consiste a manier le fer, qui est un matériel très dur, demandant un effort physique assez important. De plus, nous remarquons également qu'il a beaucoup de force, "Il se renversait, prenait un élan, abattait le marteau. Et cela, sans un arrêt, avec un balancement souple et continu du corps, avec une poussée implacable des muscles.". L'utilisation de l'imparfait de répétition prouve sa grande force. L'auteur utilise aussi le registre épiditique pour montrer cela. Cette citation montre que le forgeron fait un mouvement avec beaucoup de force et avec continuité. Aussi, le forgeron est résistant, l'énumération "Il resta noir, debout, appuyé sur le manche du marteau, avec une sueur au front qu’il n’essuyait même pas." Il fais une action demandant beaucoup de force, avec un matériel très dur, dans des conditions de température très élevé, une personne "normale" serrais avacha sur une table, à bout de souffle ou encore appuyer sur un mur. Mais lui, ne s'assoit même, il reste totalment debout, et comme l'auteur le précise, n'essuie même pas sa sueur.

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