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Commentaire Texte Merleau Ponty

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Par   •  13 Mai 2018  •  Commentaire d'oeuvre  •  2 149 Mots (9 Pages)  •  791 Vues

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Philosophie

DM3

Il ne semble pas absurde de dire que la culture permet à l’homme de se développer mais aussi de produire des richesses. La culture semble initialement signifier la maitrise de la nature comme le montre son étymologie, culture vient du latin ’’colere’’ qui signifie cultivé, soigner. La culture permet donc à l’homme d’avoir de meilleures conditions de vie et de répondre à ses besoins ou même ses désirs, il est de sens de l’ensemble des techniques de transformation de la nature permettant à l’homme de survivre et de vivre. La culture semblerait donc quelque chose de positif pour la civilisation et l’humanité il semble donc primordial de la protéger. Cependant l’homme aillant des pulsions antisociales qu’il se doit de cacher pour vivre en société et répondre à ses besoins. Comment alors l’homme entretient-il donc individuellement un lien avec la culture ? Et comment ce lien est entretenu de manière à ce que l’un ne prenne  pas le dessus sur l’autre ? On se demande donc pourquoi est-il si primordial de protéger la culture ? Nous constaterons que malgré que plusieurs définition de la culture existe toute sont en fait lié par la relation que l’homme a avec elle. Nous devrons alors examiner la possibilité aussi que l’homme même si il entretient de fort liens avec la culture il doit tout de même la défendre de chaque individu un à un.

Dès la première phrase du texte Freud définit la  « culture humaine ».c’est pour lui tout ce qui élève et distingue l’homme de l’animal .C’est en un sens tout ce qui ceux qui oppose l’homme à la nature, en quelque sorte ce sont toute les activités qui font que les hommes s’élève au-dessus de la nature, ce qui peut avoir un lien avec le premier sens du mot   travail. Mais Freud dans ce texte ne différencie pas la culture de la civilisation, à l’ origine de la  notion de civilisation est d’abord inventé par les philosophe des lumières au XVIII siècle et est beaucoup utilisé pendant la révolution française. Il est assimilé par ces philosophes au  processus même par lequel les sociétés humaines progressent, se développent, grâce à l’évolution de la science et son ajout de connaissance dans tous les domaines mais aussi grâce aux améliorations morales. Certain auteur allemand contemporain a Freud renie la différence entre les mots et préférant utiliser la notion de culture qui leur semble plus allemande. Mais Freud condamne en quelque sorte se nationalisme allemand en citant la civilisation et lui donne une équivalence au mot allemand qu’est la culture. La culture dont il donne plus précisément deux définitions. Premièrement il dit que la culture c’est « tout le savoir et tout le savoir-faire que les hommes ont acquis afin de dominer les forces de la nature ». La culture pour Freud a donc été obtenue après de nombreuses heures de labeur et de nombreuses recherches, c’est-à-dire beaucoup de travail. Il accumule du savoir ou du savoir-faire qui est l’ensemble des compétences acquises par l'expérience dans les problèmes pratiques, dans l'exercice d'un métier. Et pour compléter cette première définition il finit par « de gagner sur elle des biens pour la satisfaction des besoins humains » ou il  Enonce en un sens que c’est tout ce qu’il lui permet de produire des biens matériels en transformant son environnement naturel et de répondre à ses besoins matériels et même de combler ses pulsions ou de les sublimer par le travail par exemple comme on peut le lire dans son texte le malaise dans la civilisation. On peut donner l’exemple d’un homme qui a appris tout le savoir-faire de la terre et qui devient paysans et avec ce savoir-faire il transforme ses graine pour produire de la nourriture et répondre à ses besoin grâce au savoir de ses prédécesseur qui lui ont transmis leur culture mais auxquelles il rajoute les sienne pour répondre mieux à ses besoins en produisant plus par exemple. Dans un second temps ensuite il parle de la culture au sens qui habituellement et associer la civilisation en disant que ce sont

 « Tous les dispositifs qui sont nécessaires pour régler les relations des hommes entre eux et en particulier la répartition des biens accessibles ». Ce serait donc d’abord l’ensemble du mécanisme régissant les relations entre les hommes qui permette a chacun de vivre en communauté sainement et le plus confortablement possible tout en ayant une réparation des bien qui semble la plus juste. On parle de relation ici comme l’ensemble des rapports et des liens existant entre personnes qui se rencontrent, se fréquentent, communiquent et interagissent entre elles. Et comme exemple on peut donner des dispositifs fréquemment utilisés dans la civilisation occidentale et qui régisse aujourd’hui encore la vie de chaque personne que sont les lois. Elles sont instaurées sur des critères moraux le plus souvent et proviennent de l’homme pour se protéger de lui-même. On entend juste dans le sens de ce qui apparaît fondé, légitime et on peut voir apparaitre un paradoxe entre ses deux définitions qui semble pourtant diamétralement opposé ce qu’infirme en fait Freud dans la suite du texte.  

Il donne même trois raisons ou liens au fait que ces deux définitions ne sont pas si indépendante  différente mais belle est bien lié et indissociable  l’une de l’autre tant elles ont chacune besoins de l’autre pour être entièrement comprise. Il commence par dire que « les relations mutuelles des hommes sont profondément influencées par la mesure de satisfaction pulsionnelle que permettent les biens disponibles ».La satisfaction pulsionnelle dont il parle est en fait le comblement de ses pulsion, pulsion ici dans le sens de force à la limite de l'organique et du psychique qui pousse le sujet à accomplir une action dans le but de résoudre une tension venant de l'organisme. Il entend donc comme première que pour définir le type de relations et leurs limites il faut d’abord comprendre qu’elle type de besoin chaque homme a et comment répondre à ses besoins. Ce qui semble effectivement indéniable, par exemple si l’on parle une fois encore de l’exemple des lois, dès les premières civilisations de Mésopotamie on retrouve les premiers textes de loi datant de -2100 avant J.C ou on peut lire dès les premier paragraphe ou la vente, la fabrication, la culture de la terre est régis par la loi qui permet au homme de répondre le plus correctement possible à leur besoins sans avoir à tout faire et donc de vivre en communauté. Ensuite il dit « l'homme lui-même, pris isolément, est susceptible d'entrer avec un autre dans une relation qui fait de lui un bien, pour autant que cet autre utilise sa force de travail ou le prend pour objet sexuel » il parle de bien comme de ce que quelqu'un possède, ce qui a une valeur financière et peut être objet de propriété, dans ce cas-là les relation entre les hommes sont nécessaire à chacune des personnes, elle permettent à celui qui est en position de bien répondre à ses besoin comme pour celui qui est le propriétaire comme par exemple dans le cas de salarié ou chacun peut répondre à ses besoin en réunissant tous leur travail et dans lequel une relation d’argent et mis en place pour permettre à chacun d’échanger entre eux leur production créer par leur savoir-faire et qui réponde à certain besoin humains mais aussi lorsqu’il prend l’autre homme comme objet sexuel qui répond chacun l’un pour l’autre a ses pulsion et sa libido comme le dit Freud dans malaise dans la civilisation. Et enfin dernièrement « chaque individu est virtuellement un ennemi de la civilisation, laquelle est pourtant censée être d'intérêt humain universel » il entend par virtuellement dans le sens que c’est Selon toute vraisemblance que cela semble se produire. En un sens il dit que tous les hommes un a un sont vraisemblablement sous l’influence de leur pulsion asociale ennemi de la civilisation alors même que la civilisation permet à tous les de vivre ensemble, de répondre à ses besoin  On assiste donc ici à un paradoxe sous la forme d’un chiasme on observe que chaque individu est opposé à humain universel et ennemie de la civilisation opposée a intérêt il apparait donc ici que la forme servent au propos. Le paradoxe est donc ici clairement mis en avant mais en réalité il faut le séparer en deux phrase presque propos. Le premier parle en fait de la pulsion de l’homme, dont certaines sont à caractère asociale du au principe de réalité que Freud explique dans Introduction à la psychanalyse ou l’on découvre que l’homme pour vivre en société et en civilisation doit reporter ou transformer son principe de plaisir qui le poussais à atteindre le bonheur définit comme la source maximale de plaisir a plus tard et donc de cacher ses pulsion ce qui peut le rendre parfois instable et qu’il exprime malgré tous ses pulsion asociale ce qui semble s’opposer à la deuxième partie de la phrase pourquoi Freud se contredirait-il dans son propre texte ? c’est là où on doit chercher un peu plus loin le sens de ce deuxième bout de phrase et son lien avec la culture et la civilisation, c’est qu’en réalité l’homme peut difficilement vivre, l’homme est un être dit sociale qui a besoin des autre, de leur désir et leur reconnaissances pour avoir conscience de lui-même. Freud ne se contredit donc pas mais expose en fait la contradiction profonde de l’homme. Il semble donc primordiale de protéger la civilisation pour la survie des hommes qui sans cela ne pourrais plus répondre correctement a ses besoins.

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