Commentaire de texte hlp expression des sentiments
Commentaire de texte : Commentaire de texte hlp expression des sentiments. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar flavyr75 • 26 Novembre 2022 • Commentaire de texte • 632 Mots (3 Pages) • 365 Vues
Cet extrait provient de l’essai philosophique Le Rire écrit par Henri Bergson en
1901. Nous allons travailler sur le troisième chapitre de son œuvre « le comique de
caractère », republié par la collection Quadrige en 2002. Ce texte fait référence à la
recherche et aux difficultés de l’expression de la sensibilité de son « moi » intérieur et
extérieur, et à la possibilité de prendre connaissance des difficultés réel à partager ses
sentiments. Mais aussi comprendre que le langage n’est pas universel et qu’il peut y avoir
des confusions sur l’emploi de divers mots ou diverses expressions ainsi même de
prendre conscience des évènements du partage de nos sentiment de notre vie peuvent
faire remonter notre identité profonde. Nous pouvons nous demander comment l’auteur
expose le fait que la méthode du langage fait obstacle à l’expressions de nos sentiments
dans ce texte ? Pour répondre à cette problématique, nous procéderons à deux
mouvements différents : un mouvement sur le manque de mot qui pourrait traduire notre
individualité et en effet pourvoir
Bergson relève le manque de mot (à l’exception des noms propres) comme il nous
le dit dans son texte, à traduire l’individualité des éléments du monde extérieur de
nous-même. Le langage est lui aussi dépendant de notre qualité d’agir. Il a une fonction
d’abord sociale et adapté, aussi générale que simple, par confort, la réalité extérieure
et notre propre individualité. Notre propre discours, fait de mots, échoue donc le plus
souvent à saisir l’originalité du réel, comme de notre vie intérieure. Les mots somme
« des étiquettes toutes faites collées elle » comme l’auteur nous le met en évidence dès
les premières lignes. Les concepts sont trop généraux, « trop impersonnels » (l.16),
puisqu’ils désignent des catégories ou « des genres » (l.4). En ce sens, il y a bien
l’ineffable, de l’inexprimable par le simple moyen du discours de langage. Ainsi, si nous
prenons un autre exemple l’amoureux ne serait plus faire une « vrai » déclaration
d’amour pour désigner toute l’amour qu’il porte à sa destiner et la profondeur de son
sentiment intérieur et unique. La phrase « je t’aime » est tellement dites, lue et entendu
que sa formulation semble d’une banalité extrême dans le sentiment propre, que quand
on dit je t’aime à son amoureux, ce sentiment
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