La monarchie de droit divin

I. La monarchie de droit divin

Hobbes remarque pendant très lgts les législateurs des Républiques ont préféré manifester la loi comme étant une expression de la volonté divine alors qu’ils savaient très bien que c’était d’eux qu’elle émanait, car c’était une façon d’éviter la contestation

 On ne conteste pas la volonté de Dieu

 C’est un contractualiste : il s’inscrit dans le mouvement philosophique qui contribue à soutenir que la légitimité du pouvoir politique ne vient pas de Dieu mais des contractant

 Les hommes seraient conduits à s’associer et à déléguer toute leur liberté et force naturelle (car droit = force) en la transférant à un souverain

 Car si partage autorité politique et religieuse, on pourrait toujours se réclamer d’une autorité différente de celle du souverain pour la contester et il faudrait un arbitre qui n’existe pas

 Souveraineté ne se divise pas

Pascal pensée qui s’articule autour d’une façon de penser « raison des effets » : affirmer un certain nombre de choses (le roi n’est naturellement pas supérieur à son peuple, un duc n’est naturellement pas différent des autres) mais autorité nécessaire

 Grandeur d’établissement : établi par les hommes (rarement grande valeur) mais nécessité pour paix et ordre public

 Quand le roi va mourir, le nouveau roi sera le fils aîné : pas de dispute

 Monarque ne doit pas oublier qu’il n’est pas supérieur naturellement à ses sujets

 Pense une séparation du religieux et du politique, ce qui relève de la grâce ne relève ni de la raison, ni de l’autorité politique, ni de la science : confondre les deux serait la tyrannie (confusion des ordres)

Il faut piper le peuple pour lui faire croire que le roi est un être supérieur mais lui doit savoir qu’il ne l’est pas

Joseph de Maistre est un penseur politique qui est contre-révolutionnaire et il va analyser la révolution française comme quelque chose de fondamentalement satanique car les institutions humaines

 Croit au bien fondé et au caractère indétrônable de la monarchie

 Les institutions politiques perdent toute leur valeur si elles ne sont pas fondées sur le religieux

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