Commentaire de texte sur Bentham
Commentaire de texte : Commentaire de texte sur Bentham. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Lisa0987 • 16 Janvier 2021 • Commentaire de texte • 1 361 Mots (6 Pages) • 932 Vues
Commentaire de texte philosophique
Cette extrait tiré de l’ouvrage Déontologie écrit par le philosophe Bentham aborde le thème de la moral et plus précisément du devoir. Il s’interroge sur le rapport qui unit l’intérêt au devoir avec une certaine homogénéité. Autrement dit il se demande si le devoir et l’intérêt ont-ils toujours eu opposition. Dans quel mesure Bentham démontre t- il l’homogénéité du devoir et de l’intérêt à travers son analyse des rapports qui unissent l’intérêt au devoir ? Dans cette extrait, Bentham nous expose sa thèse, il veut nous montrer que l’intérêt et le devoir ne sont pas opposés mais a l’inverse homogène ainsi il nous explique qu’il n’y a pas a sacrifier son intérêt au devoir.
Après avoir expliquer le texte, nous verrons que l’on peux contester la thèse en mettent en avant les arguments d’autre philosophes en prenant l’exemple de Kant.
Dans un premier temps,nous verrons que Bentham nous introduit le sujet abordé (l1à 3), puis qu’il critique la thèse opposer a la sienne (l4 à 8) pour ensuite développer ses arguments et nous présenter sa thèse aux ligne 9 à 12, enfin dans une dernière partie il approfondit ses arguments en nous présentant sa thèse comme évidente.
Dans la première partie de son texte ligne 1 à 3, Bentham nous présente sa thèse en introduisant le sujet. Il nous indique que l’objet de cet ouvrage est « de faire ressortir les rapports qui unissent l’intérêt au devoir dans toutes les choses de la vie »(l1à 2) ,par cette phrase il veut nous convaincre que ces deux notions sont liées et qu’elles sont plus homogènes qu’on ne pourrait le croire . Le verbe devoir s’origine dans une pratique tout à fait concrète : on se sent obligé car on doit quelque chose a quelqu’un, tant que l’on aura pas accomplit notre devoir, nous l’aurons toujours sur la conscience. Agir par devoir revient donc a se faire souffrir ou faire souffrir l’autre si l’on ne peut pas tenir parole, c’est pourquoi il y a bien un intérêt au devoirs, qui semblerais être d’avoir bonne conscience. C’est par la suite que Bentham nous affirme qu’après avoir étudier plus attentivement la questions « l’homogénéité de l’intérêt et du devoir paraîtra évidente »(l 3). Il met en évidence l’absence de barrière entre la quête de l’intérêt et l’accomplissement de son devoir, pour lui il est évident que l’intérêt soit en relation avec le devoir.
Dans une deuxième partie ligne 4 à 8, Bentham critique la thèse selon laquelle on doit sacrifier ses intérêts à ses devoirs, on verra par la suite que c’est même une vision opposé a la sienne car en effet pour lui ils sont complémentaires et il n’y a pas de devoir sans intérêt. L’auteur nous donne un avis générale « en saine morale » (l4), « On a coutume de dire »(l5) qui n’est donc pas le sien. Il mentionne une morale saine, c’est a dire considérées comme une opinion générale qui serait juste, par la phrase suivante : « homme doit faire à ses devoirs le sacrifices de ses intérêts » par cette phrases on comprend qu’un homme devrait sacrifié ses intérêt pour son devoir par exemple un homme qui va a la guerre est prêt a sacrifier sa vie pour un devoir civique, pour ainsi être admiré. Dans ce cas la , le devoir ferait apelle à un intérêt moral qui dépasse l’intérêt personnel. L’auteur utilise le mot « d’admiration » pour ceux qui ont sacrifié leurs intérêts pour réaliser leur devoirs pour dénoncé la valorisation de ce sacrifice au seins de la société. Le sacrifice de ses intérêts a ces devoirs se retrouve d’ailleurs dans la morale du devoir de KANT, dans la « critique de la raison pratique ».
Dans une troisième partie, ligne 8 à 12, Bentham évoque sa vision qui est donc l’opposé de l’opinion public, la « saine morale ». Il développe ses arguments pour ainsi défendre sa vision. L’auteur nous expose l’idée selon laquelle sacrifié ses intérêts pour le devoirs n’est pas cohérent, selon lui, « ce sacrifice n’est pas possible » (l10) il répète d’ailleurs plusieurs fois le même types d’affirmation
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