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Commentaire de texte liebniz

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Par   •  3 Mars 2019  •  Commentaire de texte  •  1 635 Mots (7 Pages)  •  515 Vues

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La sagesse est-elle la clé vers le bonheur ? D’un point de vue stoïcien, la réponse semble évidente puisque, comme le défendent les stoïciens, notre bonheur dépend de nous et donc en étant sage on se donne la possibilité d’être heureux. Commençant tout d’abord par expliquer la thèse stoïcienne et aussi ce qu’est la sagesse d’après les stoïciens. La thèse stoïcienne repose sur la maîtrise de soi, et de sa vie, ceci en bannissant tout les désirs qui ne sont pas indispensable à la vie. Ceci est un travaille d’une vie qui pousse l’Homme à acquérir une maîtrise de soi qui st une sagesse lui permettant ainsi de goûter au bonheur éternel, et pas celui temporaire qu’Épictète, stoïcien du 1er siècle après J.C., décrit de désirs vains. On se demande donc sur la nécessité de la sagesse pour être heureux ? Dans un premier temps on va voir la sagesse dans la relation à notre entourage et tout ce qui nous entoure, et finalement on va voir ceci es un travaille d’une vie ce qui pourrai avoir des impactes sur la vie de cet être travaillant sur son mode de vie toute son existence.

D’après le question posé on peut dire que le bonheur est quelque chose qu’on peut tous toucher et vivre, mais est ce qu’il y a des conditions à ça ? Dans la vie il faut toujours fournir des efforts pour arriver à ses fins.  La condition pour le bonheur est la sagesse comme il est présupposé dans la question posé. Mais on se demande est ce que c’est la seul condition. d’après les stoïciens la sagesse qui repose sur l’abstinence de l’Homme à désirer tout ce qui ne serai pas à sa porté, c’est à dire tout ce qu’il est susceptible de ne pas atteindre, ou même ce qu’il pourrai perdre un jour pour ainsi éviter « d’être troublé » comme l’indique le Manuel d’Épictète à la troisième partie : «pour chacune des choses qui réjouissent l’âme, ou qui rendent service, ou que tu aimes, rappelles-toi : dire de quelle sorte elle est », cela veux dire que en aimant un objet  il ne faut pas oublier que cette chose pourrai ne plus m’appartenir, par exemple si je possède un objet de valeur et que quelqu’un me le vole, il ne faut pas que je me chagrine pour un objet qui finalement reste un bien matériel, au contraire selon la situation il faut se dire « je l’ai rendu . » au lieu de « je l’ai perdu » comme le dit Épictète. Cela va jusqu’à une certaine indifférence à tout ce qui pourrai nous faire ressentir des émotions négatifs tel que : la peur, le chagrin, la colère.. etc. Cette thèse va dans plusieurs sens à part celui qu’on a présenté au début, on va donc les présenter. La relation à autrui qui, même en étant des plus développé, le Manuel d’Épictète indique à la XIV : « si tu veux que tes enfants, a famille, tes amis soient toujours en vie- tu es insensé : car tu veux que ce qui est hors de ta portée soit à ta porté »c’est à dire que le fait de penser pouvoir garder une personne qu’on aime éternellement est bête, car l’Homme est mortelle est donc sa mort ne dépend pas de nous. Toutes les sensations négatives qu’on pourrai ressentir face à un événement, relié à quelque chose ou à quelqu’un, qui ne dépend pas de nous est en effet le fruit de l’interprétation que nous on s’est donné de cette personne ou de cette chose, la place qu’on lui a accordé dans notre vie, donc toute souffrance qu’on pourrai avoir vis à vis de la perte de quelqu’un ou quelque chose ou même le fait de ne pas l’obtenir dépend de notre « usage des représentations », notre représentation de ce qui nous entoure va nous rendre la vie plus facile et donc heureux d’après les stoïciens : « ainsi en effet, s’il t’arrive quelque chose qui t’empêche de te baigner, tu aura la réponse à porté de main :« mais ce que je voulais ce n’était pas seulement cela, mais aussi garder ma volonté dans une disposition accordée à la nature;or je ne la garderai pas dans cette disposition, si je m’emporte contre ces événements. » c’est à dire que en faisant une activité par exemple, il faut accepter qu’en la faisant ce n’est pas tout parfait, et qu’il y aura probablement des conditions à accepter, donc en faisant une activité on s’expose à tout ce qui va avec, par conséquent on accepte indirectement les conditions. Pour ^tre heureux il faut donc se dire que si on veux vivre quelque chose il y a des conditions qui vont avec on le comprend à travers la VIII partie : « veuille les événements comme ils arrivent, et le cours de ta vie sera heureux » Épictète utilise l’impératif pour appuyer sur l’importance ce ce qu’il a dit, ainsi pour lui la bonheur repose sur la sagesse, qui elle est d’accepter le courant de notre vie comme il est ainsi que tout ce qui se passe et tout ce qui va avec tel que les imprévus de la nature, etc.

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