Droit européen

Correction galops d'essai.

I. Commentaire de texte.

        Raisonnement rigoureux : plan qui suit le texte.

        Distinction entre gouvernement et tyrannie : le bon roi respecte le cadre légal, l'ordre juridique du royaume, l'utilité de tous.

        Sujet divin : selon l'auteur, l'autorité exercée par le roi est soumise à celle de dieu, équité divine (rendre à chacun ce qui lui du). L'église soumet le roi.

        Introduction :

• Accroche : "Un roi illetré est quand même couronné" : la fonction royale ne suffit pas pour gouverner, il faut des fonctions savante, de justice.
• Auteur : philosophe et historien anglais du 12e siècle (1115-1180). Il a beaucoup étudié à Paris puis à Chartres, il s'est rendu une dixaine de fois en italie pour aller dans une université ou à Rome pour des missions pour la royauté anglaise ou pélerinnage. Roi de france était Philippe Auguste.
• Texte : politique et morale, critique la focntionnalité du roi et de la nature des rapport avec le royaume. Miroir du prince pour qu'il respecte les devoirs envers son peuple et l'église pour légitimer son devoir.
• Contexte : époque de croisade ce qui permet de quitter le royaume pour respecter leurs devoirs personnels envers l'église et dieu sans autorisation du roi.
• Résumé : développe les caractères justes pour en tirer des conclusion sur l'origine des pouvoirs des princes et les rapports qui les lie avec l'Eglise.
• Problématique : dans cet extrait, quelle déduction tire l'auteur de sa vision du ministère royale quant à l'origine du pouvoir des princes ?
• Plan : I. la qualification publique de la resposnabilité desp rinces envers le royaume.

                A. Le respect du cadre légal contre la tyrannie.

                B. Un ministère royal avec pour objectif le bien commun des sujets.

                   II. L'affirmation d'une subordination spirituelle et temporelle de l'Eglise.

                A. La supériorité de l'équité de Dieu sur l'autorité de justice du roi.

                B. Une conclusion "théocratique" sur le glaive royal.

II. Dissertation.

        I. Le roi de France : un suzerain sacré à l'origine.

                A. Un pouvoir royal juridiquement et matériellement illimité

                B. La religion royale comme principal outil de différenciation avec les autres seigneurs

        II. Une politique progressive en faveur de la souveraineté royale.

                A. Entre légisme royal et droit roamin : une légitimiation rationelle du pouvoir royal

                B. La guerre et les finances : vecteur de puissances du pouvoir capétien et valoix.

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