Ménopause et cerveau

À la suite de notre analyse, on peut retenir que la ménopause est généralement suivie de symptômes qui affectent négativement le cerveau . La maladie d’Alzheimer causé par l’accumulation de plaques amyloïdes qui augmentent considérablement pendant cette période est celle qui affecte le plus les femmes. Pour remédier à cela , nous avons vu en premier lieu l’effet de l’hormonothérapie sur le cerveau des femmes , ses avantages étant le fait de pouvoir lier cette dernière a l’indice de masse corporelle pour mieux comprendre le lien entre la ménopause et le cerveau. En effet , l’injection d’œstrogènes chez la femme ménopausée retarde l’apparition de la maladie d’Alzheimer en modifiant positivement la relation entre l’indice de masse corporel et le volume cérébrale. Or , généralement, on a observé que le volume cérébrale diminue lorsque l’indice de masse corporelle augmente. Notre 2ème étude s’appuyant sur l’adiponectine nous a aussi permis de mieux comprendre ce concept et peut être une piste de solution pour ralentir la démence. Nous avons découvert que le taux d’ADPN joue un rôle important dans différentes régions du cerveau et possède des effets neuroprotecteurs. De ce fait , quand celui-ci est bas , il y a un risque de déclin cognitif plus accru. Cette étude nous permet d’appuyer notre 1er étude car elle nous informe qu’une femme ménopausée diabétique a un risque de déclin cognitif plus important qu’une femme ménopausée non diabétique. Finalement , la solution la plus populaire pour ralentir l’apparition de déclin cognitif et les autres effets négatifs que la ménopause a sur le cerveau est le régime méditerranéen car il est composé d’aliments riches en œstrogènes. Pour améliorer d’avantage ces effets , il est aussi suggérer de changer son mode de vie et de faire des activités qui chassent le stress.

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