Le Cerveau

Dans la vie de tous les jours, pour comprendre le cerveau, il faut d'abord analyser son fonctionnement. Lorsque l'on part faire une activité, il y a tout à organiser: penser à ne rien oublier, penser à se rendre à la bonne destination, visualiser son trajet ou tout simplement préparer d’avance les articles, les lunchs et autres afin de réaliser l'activité.

Tout d'abord, ce texte me fait pensé quand je décide, lors de la planification de la journée, que je dois pensé à ce que j'ai à faire dans ma journée, ce que j'ai a préparé ainsi que les étapes que je dois mettre en place afin de faire ma journée. Le fait de se visualiser en train de faire un mouvement active une partie des neurones du cerveau. Le meilleur exemple est lors de ma préparation de ma journée, je sais qu'il faut que j'aille m'habiller. Pour aller m'habiller, il faut que j'aille chercher mes vêtements. Le matin, je suis très organisée, le fait d'être répétitive m'emmène à prendre une certaine habitude. Les soirs avant d'aller me coucher, je dois préparer au complet mon lunch prêt à être emporté dans le frigidaire. Ensuite, le soir juste avant de fermer les lumières je mets mon cadran. La visualisation n'estime pas le temps que ça prend, mais plutôt comment le faire ou bien, la manière comment l'exécuter. La visualisation est aussi le fait de visionner une séquence de choses à faire ou à penser.

Par la suite, le coté moteur du cerveau, lors de son développement permet d'exécuter un mouvement sans avoir de besoin de dire à mon corps et de dire à mon cerveau que tous les muscles de mon bras doivent se contractés pour aller chercher l'objet et se recontractés de nouveau afin de maintenir l'objet dans la main. Le cerveau s'occupe de manœuvrer tous les muscles ainsi que leur mouvement avec ce que l'individu veut faire ou pense faire. La coordination se fait automatiquement après un certain temps. Si l'on prend exemple lorsque j'étais enfant, le fait que le professeur de ski produise un mouvement et qu'ensuite ma mère le reproduise et qu'à mon tour je l'exécute lentement, emmène mon corps à apprendre un nouveau mouvement et de le mettre en pratique pour qu'une bonne journée je puisse être capable de l'exécuter plus rapidement puisque je n'aurais pas a dire a mon cerveau tout les mouvements à prendre en compte afin d'exécuter ledit mouvement.

Également, le texte me fait penser aussi à partir du moment où je décide de mettre en action mon mouvement, le cerveau, lors de l'imagination de ce mouvement, il n'y a pas de distance réelle. Je n'ai pas à vivre la distance lors de l'imagination. Lorsque je me dis que je dois aller dans le garage chercher un objet et que je pense à la distance à parcourir. En imagination, le temps de se rendre dans le garage est beaucoup plus court que dans la réalité où il va peut-être y avoir des obstacles ou des choses que l'on aurait oubliés dans l'imagination de la distance avec l'exécution réelle. La notion de distance et le temps que cela m'aura pris sera beaucoup plus long puisqu'il y a le temps que je me penche, que je chercher et que je trouve. De plus, cette notion de distance n'est pas prise en compte lors de l'imagination.

Finalement,

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