La régulation du marché des taxis : difficultés et perspectives
Étude de cas : La régulation du marché des taxis : difficultés et perspectives. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Marc'Andria Mela • 15 Mars 2018 • Étude de cas • 1 066 Mots (5 Pages) • 1 085 Vues
La régulation du marché des taxis : difficultés et perspectives
3) Les effets de la réforme envisagée vis-à-vis du service rendu au client est qu’il aura moins de difficultés a trouver un taxi ou bien un VPR en vu de l’augmentation majeur de ces véhicules car « au total de 50 000 à 60 000 taxis et VPR à Paris et en proche banlieue ».
Pour ce qui concerne le prix des licences le le gouvernement voudrait octroyer gratuitement par une procédure d’attribution étalée sur deux ans, une licence incessible à tous les demandeurs inscrits fin 2007.
Le Président Sarkozy partage ce point de vue puisqu’il a dénoncé les « rentes de situation » dont les taxis bénéficieraient.
Ou encore l’Etat pourrait « créer une taxe d’environ 1 euro par course pour financer le rachat des licences existantes ».
4)Les routes de la capitale sont un bien public, car du point de vue de la sécurité la compagnie de taxi Alpha taxis affirme « A Londres il y a eu tellement de problèmes de sécurité et de violences qu’une compagnie pour les femmes a vu le jour » ils affirment aussi que beaucoup de véhiculent sont en circulation dans la capitale ce qui entraine beaucoup de bouchons « un chauffeur de taxi tourne a vide la plus part du temps avec les bouchons. Il faut améliorer le trafic dans la capitale ».
Il arrive aussi un problème majeur en outre les bouchons et la sécurité ; la pollution, « la pollution par émission de CO2 pose des problèmes de santé publique » et donc des problèmes environnementale, et puis le sur-nombre de voiture sur la capitale cause du bruit, « autres puissances du tout voiture : le bruit ».
5)Après avoir démontré que la circulation en voiture est source d’externalités comme la libéralisation du marché des taxis, la sécurité et la pollution nous exposerons ces différentes façons de gérer ces externalités.
Tout d’abord en mettant en place un système de péage urbain ce qui empêcherait les véhiculent trop polluants de circuler « Chez nos voisins d’Outre Rhin les véhiculent trop polluant sont interdits de circulation depuis le 1er janvier 2008 dans le centre ville de trois grande agglomérations allemandes dont Berlin ». Voici une idée qui permettrait de fluidifié un petit mieux ces villes.
Ensuite cela concerne la pollution et donc les risques de santé publique et par conséquent « la prise de conscience très forte de la nécessité absolue de réduire les émissions de CO2 de nos voitures qui participent au réchauffement climatique …. Mais également de réduire la pollution atmosphérique dont l’effets néfastes pour notre santé ont été gravement sous-estimés pendant des décennies ». Ces fortes émissions de CO2 doivent être donc au coeur des discussions politique puisqu’elles sont la cause d’après un rapport en 2004 de l’AFSE que les « émissions de particules fines pourraient être responsables d’environ 9500 décès en 2002 en France de plus de 30 ans ».
Pour terminer, il faut « trouver de nouvelles sources de financement permettant à la fois de développer des transports urbains plus performants et de réparer les dégâts environnementaux de la voiture en ville », en d’autres termes l’innovation dans les nouvelles technologies, comme aujourd’hui la voiture électrique sans bruit ni émissions de CO2, développer les réseaux sous terrains afin d’élargir la galerie souterraine afin d’avoir plus de métros et moins de voiture par exemple.
6) L'arrivée d’Uber en France en a déstabilisé le monde des taxis, en particulier à Paris.
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