Commentaire du texte B. Russel à propos de l'utilité de la philosophie
Commentaire de texte : Commentaire du texte B. Russel à propos de l'utilité de la philosophie. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar claratravail27 • 9 Octobre 2017 • Commentaire de texte • 453 Mots (2 Pages) • 990 Vues
Corrigé texte B.RUSSEL
Dégager l'idée principal du texte à partir de l'étude de son argument.
Intro :
Ce texte de B.Russel philosophe du 20e siècle a pour thème la philosophie. A quoi sert la philosophie se demande ici l'auteur. Sa réponse (est c'est la thèse du texte) est que le philosophe à pour principal fonction de libérer notre penser et de nous aider a penser par nous même. Cette thèse est argumenté en 2 partie : 1er moment qui va du début de texte jusqu'à « ...avec méprit. » et un second de « dès que... » jusqu'à la fin.
Dans la première partie du texte l'auteur se livre à une description très négative d'un non-philosophe « celui qui n'a aucune teinture de philosophie » (c'est-a-dire) non pas celui qui n'est pas philosophe mais celui qu in'a aucun esprit critique, celui qu n'a pas du tout l'esprit philosophique) n'est absolument pas libre de penser par lu même. En effet il est prisonnier de ces préjugés. On peut définir un préjugé comme un avis, une idée ou une parole que l'on prononce avant toute forme de réflexion et donc une idée sans preuve ni fondement. D'où nous vienne ces préjugés ? Russel explique qu'ils sont liés à la penser des autres (« le sens commun ») qui nous vienne de notre époque ou encore de notre culture. Surtout ce type de penser n'est absolument pas réfléchis elles sont étrangère à la raison qui ne l'est pas produite ni même analysé. Le non-philosophe apparait en fin de compte dans cette description comme un tout petit monde.
Cette première partie conduit logiquement à la seconde. En effet la description très négative du non-philosophe va par opposition mettre en valeur l'apport de la philosophie. Penser de manière philosophique nous ouvre à une vision ne semble plus évident ou simple, nous avons accès à la complexité de autre chose, par là notre penser découvre de nouvelle possibilité. La philosophie permet de se libérer de « la tira nie de l'habitude » l'habitude en effet par la répétition incessante des même gestes, des même idées, des même paroles nous empêche de réellement penser. C'est même une technique qui peut servir à endoctriner les esprits les plus faible. Certes, Russell la philosophie nous donne pas toujours de réponse mais elle nous invite à chercher ces réponses et ce d'autant plus quelle nous invite au dialogue avec autrui ce que ne font pas ceux qui sont enfermé dans leur certitude c'est-à-dire ceux qui sont dogmatiques, elles nous pousse à nous mettre en question en utilisant constamment le doute comme méthode. Ainsi nous ouvrons les yeux sur le monde et sur nous même et nous retrouvons la capacité de questionné et de nous émerveillé.
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