Texte Russell

Cette semaine nous avons poursuivi l’étude de texte de Russell des lignes 13 à 17. Il nous dit que la démarche philosophique soulève des problèmes qu’elle demeure incapable de trouver la vérité. Néanmoins l’auteur nous dit qu’il y a deux apports de la démarche philosophique. Le premier étant une grande ouverture d’esprit c’est-à-dire, âtre capable de voir d’autre possibilité de penser là où on en voyait qu’une. L’ouverture d’esprit nous mène à deux conceptions de la tolérance. La conception relativiste qui considère que toutes les manières de pensées, de vivre ainsi que toutes les cultures sont d’égales valeurs. Donc il n’y a pas de place pour le jugement critique. Par contre cette conception nous pousserait à être tolérant avec l’intolérable. Par exemple l’excision. Néanmoins il existe une deuxième thèse la conception pluraliste qui reconnait la diversité des manières de vivre et de penser des cultures mais soutient que toute son susceptible d’une évaluation objective à l’aide d’élément, d’objet. Par exemple, la déclaration universelle des droits de l’homme et du citoyen, elle nous permet d’évaluer la moralité la moralité ou la façon dont la morale est inscrite dans des données universelles. Le deuxième apport est une liberté plus grande grâce à la raison c’est-à-dire que chacun doit se servir de sa raison pour examiner tout ce qu’il considère comme étant vrai afin d’avoir une plus grande liberté. Celui qui se sert de sa raison fait preuve d’autonomie, c’est à dire qu’il est dans un état ou ses pensées et ses actent s’appuient sur ses capacités rationnelle et par conséquent il aura une plus grande liberté. A contrario ce sont les autres qui nous dictent ce qui est « bon »pour nous. L’on parle alors d’hétéronomie. En d’autre terme c’est un état caractérisé par le faite que nos pensées et nos actes sont déterminés. Par exemple on peut rester à ce que les professeurs nous disent ou on peut faire une partie du travail de réflexion soi-même. Donc c’est un état qui donne lieu à une moindre liberté. Kant illustre cette notion d’autonomie. Il répond à la question « Qu’es ce que les lumières ? », il met en avant l’état de tutelle soit l’hétéronomie dont l’homme est lui-même responsable. Il est dans la continuité du combat des lumières, leur ennemie première étant l’ignorance. Dans le texte de Russell, à la ligne 19 le mot « dogmatisme » nous a interpellés. Ce mot en fonction de son utilisation se décline en « dogmatisme » et « dogmatique ». Le mot dogmatisme en philosophie nous fait penser aux dogmes religieux. C’est une affirmation présenté comme des vérités et que le fidèle doit accepter sans débat. Dogmatique dans le language courant n’est autre que quelqu’un qui pense détenir. En poursuivant le cours le mot dogmatisme nous a amené à la première des quatre thèses de la vérité, le dogmatisme. C'est une conception de la vérité. Selon elle, il existe des vérités et nous sommes en capacité de les connaître. Elle affirme des vérités sans discussion, et sans débat c’est-à-dire sans aucune remise en question. Pour elle la vérité c'est l'ordre naturel des choses. C'est l'intuition qui mène à la vérité. Cette thèse évite de douter et de se remettre en question et mais elle va à l'encontre du jugement individuel.

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