Etude de marche cas

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Introduction

Introduction

Partie I

1. Généralités  sur l’Espagne :

• Situation géographique
• Situation politique
• Situation économique

1. Secteur d’activité :

• Secteur : cuir  /Branche, Produit : chaussure

Partie II : Commerce extérieur de l’Espagne

1. Les exportations et les importations de l’Espagne tous produits confondus :

• Principaux clients  et fournisseurs

1. Les exportations et les importations de la Chaussure en Espagne

• Principaux clients et fournisseurs concernant les produits

Partie III : Echanges bilatéraux entre le Maroc et l’Espagne :

1.         Les exportations et les importations entre le Maroc et l’Espagne tous produits confondus.
2. Les exportations et les importations de l’Espagne de la Chaussure.
3. Cadre juridique :

• Accords, conventions.

Partie IV : Mode d’accès au marché espagnol :

1. Réglementation liées au Commerce Extérieur :

• Procédures administratives à l’importation
• Normalisation

1. Droit de Douane et taxes de Chaussure
2. Logistique
3. Consommation /demande
4. Distribution /communication
5. Concurrence

Conclusion

Annexes : infos : adresses  , liens

Partie I

1. Généralités  sur l’Espagne

Il y a  46 507 760 habitants (estimation janvier 2014.

Superficie totale: 504 782 km²

Son climat est méditerranéen, les températures extrêmes peuvent aller jusqu'à -5 °C en hiver et + 40 °C en été.

Les frontières de l'Espagne sont : le Portugal et la France.

Les villes principales sont : Madrid qui est la capitale, Barcelone, Bilbao, Valences, Saragosse et Séville.

L'Espagne et la France sont séparées par les Pyrénées.

La fête nationale est le 12 octobre.

La monnaie de l'Espagne est l'euro.

La langue officielle est l'espagnol.

Le roi est le roi Felipe VI, depuis juin 2014.

Chef du gouvernement : Mariano Rajoy (Parti populaire), depuis décembre 2011.

La situation géographique :

L’Espagne occupe les quatre cinquièmes de la péninsule ibérique à l’extrême sud-ouest de l'Europe et à 14 km de distance du continent africain. Entre l’Atlantique et la Méditerranée, l’Espagne est aussi un carrefour stratégique et historique entre l'Europe, l’Afrique et l’Amérique du Sud. La devise du royaume est " Plus Ultra ". Sur 5.850 km de frontières, l’Espagne compte 3.900 km de frontières maritimes.

La péninsule Ibérique est située entre la mer Méditerranée à l'est et l'Océan Atlantique à l'ouest. Au sud, elle est séparée de l'Afrique par le détroit de Gibraltar qui n'a que 13 kilomètres de largeur; au nord, la chaîne des Pyrénées la sépare du reste de l'Europe.

L'Espagne est un pays à la fois continental et maritime. La capitale Madrid est à plus de 300 kilomètres des côtes, et connaît donc un climat fortement contrasté, avec des étés très chauds et des hivers qui peuvent être très rigoureux. L'Espagne a aussi des centaines de kilomètres de côtes méditerranéennes ou atlantiques, où les contrastes climatiques sont moins marqués qu'au cœur de la péninsule. Les côtes Atlantiques sont nettement plus humides que les côtes méditerranéennes, où la question de l'approvisionnement en eau est parfois un problème.

Situation politique :

L'Espagne est une monarchie constitutionnelle multipartite où le roi est le chef de l'État et le président du gouvernement est le chef du gouvernement. Le pouvoir exécutif est exercé par le gouvernement tandis que le pouvoir législatif est dévolu au parlement. Le pouvoir judiciaire est indépendant des deux premiers.

Des difficultés qui s’amoncellent sur le plan politique

Dans un contexte de récession économique, le pouvoir politique a du mal à conserver une position crédible auprès du peuple espagnol épuisé par les difficultés rencontrées. L’année 2012 s’était achevée sur un mois de décembre catastrophique, à un taux de chômage de 26,1%. L’Espagne demeure l’un des pays de l’UE les plus touché par la crise de 2009. Les effets de cette crise ont été dévastateurs et encore aujourd’hui certains secteurs très affectés n’ont pas réussi à se redresser.

En 2013, le Président du gouvernement espagnol Mariano Rajoy a fait le bilan devant le parlement de deux années difficiles pour le pays et ses habitants qui ont du faire de sérieux efforts pour se plier aux contraintes de la rigueur imposée par le gouvernement et de la récession qui a frappé le pays.

Le gouvernement a adopté d’importantes mesures d’austérité depuis l’été 2012 et les objectifs budgétaires ont été allégés. Ces cibles ne seront cependant pas atteintes en raison de la récession et de l’ajustement difficile des comptes des communautés autonomes.

La situation économique :

L’économie de l'Espagne est la cinquième économie de l’Union européenne et la douzième puissance économique mondiale (en 2012).

En 2010, l'Espagne, comme la zone euro, est touchée de plein fouet par la crise financière qui a débuté en 2008 (hausse importante de la dette publique, hausse du chômage, crise de confiance des investisseurs).

Une  reprise dynamique, tirée désormais principalement par la demande intérieure :

La reprise engagée dans la seconde moitié de 2013 a gagné en vigueur en 2014. Le retour de la confiance, lié à l’amélioration des conditions financières sur les marchés et à la bonne performance des exportations, ainsi que les politiques de redressement mises en œuvre par le gouvernement, ont jeté les bases d’un redémarrage plus vigoureux qu’initialement prévu. La contribution à la croissance de la demande intérieure a pris nettement le pas sur celle de la demande extérieure. Le raffermissement de la demande interne a fait sentir ses premiers effets sur l’emploi. Le taux de chômage ne cesse de reculer depuis mai 2013, demeurant toutefois à un niveau encore très élevé (24%). La reprise devrait se poursuivre en 2015 grâce au redressement attendu du crédit, à l’amélioration continue du marché du travail, à une légère hausse du pouvoir d’achat des ménages, liée à la faiblesse de l’inflation. Les ventes à l’étranger devraient continuer à bénéficier de gains de compétitivité et d’un léger renforcement de la demande émanant des principaux marchés à l’exportation du pays. L’amélioration des perspectives économiques, la bonne tenue des exportations et le besoin de renouvellement du parc existant devraient continuer à tirer l’investissement productif. En outre, l’investissement résidentiel commence à se redresser (après s’être fortement ajustés puis stabilisés, les prix de l’immobilier ont légèrement augmenté au second trimestre 2014, pour la première fois depuis début 2008). Globalement, les déséquilibres se résorbent mais le secteur privé demeure fortement endetté, ce qui risque de limiter l’ampleur de la reprise.

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