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ADM 1013, comportement organisationnel.

Étude de cas : ADM 1013, comportement organisationnel.. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  3 Décembre 2016  •  Étude de cas  •  4 077 Mots (17 Pages)  •  2 324 Vues

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ADM 1013

Comportement organisationnel

Anlayse de cas : Des frontières à franchir

Résumé des Faits :  Angelica Garza est une Américaine d’origine mexicaine , responsable des ressources humaines dans deux usines pour la compagnie USMed. Les deux usines sont situés sur le bord de la frontière mexicaines, une à Tijuana ( grande ville mexiciane située en face de San Diego et l’autre à Chula Vista (du côté américain de la frontière). Elle a en tout un total de 1134 employés dans ses deux usines. De ce nombre 34 sont Américains (12 du côté mexicain et 22 du côté américain) et 1100 sont Mexicains. Elle a été confronté à un choc de culture, étant Mexicano-Américaine elle pensait bénéficier  d’un avantage pour comprendre les travailleurs mexicains, ce qui ne c’est pas produit étant donné que la plupart des travailleurs étaits de classe différente sociale de la sienne, la plupart était du milieu rural. L’expansion rapide des maquiladoras (usine mexicaine à capital étranger installées dans les zones limitrophes des États-Unis pour profiter des lois favorables et d’une main-d’œuvre à bon marché) a amené un grand nombre de changement qui c’est heurté à la différence culturelle. De nouvelles attentes et des nouveaux gestionnaires, ce qui a amené à des confrontations dans un contexte de formation ce qui n’est pas gagnant comme situation, une situation déjà pleine de préjugé et d’aversion entre les employés des deux cultures.

 Elle est de plus laissé à elle-même par  la compagnie, car aucune politique générale en matière de gestion de ressources humaines et encore mois en matières de gestion de la diversité. La compagnie et elle croyait que vue son origine latine elle pouvait mieux comprendre leur culture, sans toutefois lui donner de support nécessaire et ne pas prendre ses tentatives aux sérieux, elle a essayé de travaillé en médiation avec les gestionnaires américains et mexicains,  ce qui a amené à de la méfiance de ses collègues américains et aucun soutien pour la mise en œuvre et de l’incompréhension et du ressentiment de la part de ses collègues mexicains.  La perception que les Américains d’origine mexicaine sont les mieux préparés pour travailler avec des mexicaines est erronée. Angelica pouvait en partie comprendre la culture et les valeurs des travailleurs mexicains, mais en fait mis à part l’espagnol que les deux parlent, elle ne connaît pas grand chose de leur culture. Elle a fait preuve d’ouverture d’esprit et d’analyse pour comprendre les différences entre les deux cultures et les mettre en pratique. ¨J’ai découvert que mes collègues mexicainces, deux femmes qui travaillaient à la comptabilité depuis 5 ans, m’en voulaient. Ce qui m’a sauvé, c’est le fait d’être Américaine, parce que les femmes mexicaines considéraient les Américains comme supérieur….Elles m’en donnaient le  moins possible, ne m’aidaient pas et critiquaient tout ce que je faisais dès que j’empiétais sur leur domaine.¨  Comme elle mentionne également : ¨ D’autre part, ce n’était pas facile d’être la seule femme dans un environnement et parmi des réseaux constitués uniquement d’hommes. À cela s’ajoutait le milieu mexicain, et les hommes à qui j’avais affaires me méprisaient à cause de mon sexe. C’est encore mon statut d’Américaine qui m’a sauvée….Par exemple, j’avais à travailler en étroite relation avec le chef du service de la comptabilité, un Mexicain. Je l’entends encore me répéter que je m’étais trompée dans mes chiffres, que je n’avais pas fait ceci ou cela comme il fallait et autre gentillesse….Ainsi, lui estimait un salaire annuel sur la base de 365 jours, tandis que je partais de 52 semaines.¨  Une autre différence culturel qui mène à des sources de conflits.

Identification du problème :

 Nous parlons ici d’un manque de politique de générale de la part de USMed en ressources humaines et tout particulièrement en matière de gestion de la diversité. Ce manque de politique entraîne des problèmes de préjugés en lien avec les cultures, un manque de communication et de partage d’information vient renforcir ses problèmes en lien avec les cultures américaines et mexicaines. Il faut faire tombé les frontières, au niveau du travail, mieux faire connaître les attentes de la compagnie envers les employés et les entreprises. Encadrer le personnel cadre des deux cultures pour que les deux travaillent dans le même sens.

Causes du problèmes : 

Caratéristique socio-démographique : D’origine la maquiladora a été construit dans un milieu rural . La plupart des tavailleurs ,d’origine rural venaient de ranchitos sans toilettes ni douches.    «À l’époque toutver des ingénieurs ou des secrétaires bilingue, c’était comme chercher une aiguille dans une botte de foin » Ce qui explique le choc culturel que Angelica  a vécu au début et qui n’a pas aidé son acclimatation à son nouveau milieu de travail. Comme Angelica le mentionnait : « Le chagement n’est jamais facile, mais obtenir d’eux qu’ils suivent certaines règles tenait vraiment du défi .»  L’expansion rapide maquiladoras a amené d’important changement tant au niveau attentes que des styles des nouveaux cadres.

Problème de stéréotype et plafond de verre : ``Les stéréotypes naissent lorsqu’on assimile une personne à une catégorie ou à un groupe de la population``, comme mentionné dans le manuel de Gagnon page 58. Angelica en est victime autant de la part de ses collègues Américains que de ses collègues Mexicains. Les dirigeants américains l’avait envoyé travailler à l’usine de Tijuana ainsi qu’à celle de qu’à Chula Vista croyant que son éducation mâtinée de culture latino-américaine pouvait l’aider à comprendre la culture et les valeurs des travailleurs mexicains. « Je suppose que tout le monde estimait que, venant d’une famille chicano, j’allais automatiquement savoir comment me fondre dans cette culture complètement différente de la mienne.» Angelica c’est vite rendu compte que ce n’était pas tout à fait vrai : « Sa maitrîse de l’espagnol lui permettait également de communiquer avec eux, mais ses connaissances et ses liens étaient loin de correspondre à ce qu’imaginaient les dirigeants américains, inconscients des nombreuses différences sur le plan culturel entre Angelice et le personnel mexicain. » Malgré de nombreuse tentative la part d’Angelica d’instaurer de nouvelle méthode de travail en harmonie avec les deux cultures, elle c’est souvent heurté également à des stéréotypes de la part des deux groupes. «…connu bien des frustrations et s’est heurtée à un mur d’incompréhension. Ses tentatives de médiation entre les gestionnaires mexicains et américains, qui n’appréciaient pas ses idées ni ses suggestions. Étant donné son statut d’Américaine, les Mexicains éprouvaient pour elle des sentiments ambigus où se mêlaient incompréhension et ressentiment, alors que l’organisation américaine ne lui offrait guère de soutien. » De plus pour les Mexicains les Américains leur sont supérieurs, ce qui a joué en faveur d’Angelica dans deux situations précisément avec des collègues mexicains. « J’ai découvert que mes collègues mexicaines, deux femmes qui travaillaient à la comptabilité depuis cinq ans, m’en voulaient. Ce qui m’a sauvée, c’est le fait d’être Américaine, parce que les femmes mixicaines considéraient les Américains comme supérieurs.» « C’est mon statut d’Américaine qui m’a sauvée.//Par exemple, j’avais à travailler en étroite relation avec le chef du service comptabilité, un Mexicain. Je l’entends encore me épéter que je m’étais trompée dans mes chiffres, que je n’avais pas fait ceci ou cela comme il fallait et d’autres gentillesses.» Le problème de stéréotype est un problème majeur dans un cas comme celui d’Angelica, une mexicano-américaine, envoyé travaillé dans deux usines avec un fort taux d’emloyés mexicains et où ses collèges gestionnaires et cadres ne font rien pour faire preuve de compéhension. De part leur orignie et leur sexe, les deux collègues de Angelica croient être vicitme de ce qu’on appel le plafond de verre « Barrière invisible qui freine l’avancement professionnel des femmes et des minorités dans les organisations », comme Angelica le mentionne ses deux collègues croient que la compagnie a envoyé Angelica pour leur enlever des responsabilités.

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