ADM 1013 TN1 Comportement organisationnel
Étude de cas : ADM 1013 TN1 Comportement organisationnel. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar annick0820 • 21 Octobre 2024 • Étude de cas • 4 693 Mots (19 Pages) • 14 Vues
ADM 1013
Comportement organisationnel
Feuille d’identité
Travail noté 1
NOM
PRÉNOM
NUMÉRO D’ÉTUDIANT
TRIMESTRE Hiver 2024
ADRESSE
CODE POSTAL G3K 1S9
TÉLÉPHONE DOMICILE
TÉLÉPHONE TRAVAIL
CELLULAIRE
NOM DE LA PERSONNE RESPONSABLE DE VOTRE ENCADREMENT Roselyne Fortier
DATE D’ENVOI 2024-04-04
Réservé à l’usage de la personne responsable de l’encadrement
DATE DE RÉCEPTION
DATE DE RETOUR
NOTE
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Étude de cas : Des frontières à franchir
Dans cette étude de cas, j’opterais pour l’approche « problème » qui à mon avis est la plus convenable puisque plusieurs problèmes doivent être résolus. Cette approche se décline en six étapes que vous trouverez ci-dessous.
Étape 1 : Résumé des faits
À la lecture de l’étude de cas « Des frontières à franchir » nous pouvons constater les différents défis dont Angelica Garza a dû faire face dans son travail. Nous observerons également, les défis que pose la diversité au travail. Nous analyserons la situation d’Angélica, cette Américaine d'origine mexicaine travaillant depuis maintenant 10 ans, aux ressources humaines (RH) de la multinationale USMed, cette entreprise fabricant des produits médicaux a subi une expansion rapide provoquant de nombreux changements organisationnels. « USMed détient 6 autres installations qui se situent dans divers états américains. Cette entreprise possède également une succursale au Mexique, plus précisément dans la ville de Tijuana, grande ville mexicaine située en face de San Diego (Californie), elle se définit comme étant une maquiladora. Les maquiladoras sont des usines mexicaines à capital étranger installées dans les zones limitrophes des États-Unis pour profiter des lois favorables et d'une main-d'œuvre à bon marché ».
La compagnie nomme Angelica Garza responsable des RH dans l’usine de Tijuana. Bien qu’Angelica possède un important bagage en RH, celui-ci était principalement basé sur des connaissances américaines. De plus, étant américaine d'origine mexicaine, Angelica croyait avoir un certain avantage dans son poste et pensait s’adapter rapidement et ainsi établir facilement des relations avec les employés mexicains. Conséquemment, elle éprouve une certaine difficulté à s’intégrer dans son nouvel environnement de travail, n’ayant pas considéré les différences culturelles de la multinationale créant ainsi des problèmes dans l’organisation. À cause de son statut d’Américaine, elle a subi du mépris de la part de certains à cause de son sexe, lui occasionnant des difficultés à travailler avec ses pairs. Cependant, avoir été Mexicaine aurait été pire. Son statut d’Américaine l’a sauvée à plusieurs reprises, car étant la seule femme dans un environnement et parmi des réseaux constitués uniquement d’hommes, ceux-ci ne lui auraient pas rendu la tâche facile. « Angélica comprenait au fond d’elle-même les craintes des travailleurs mexicains. Nous débarquions, sûrs et certains de ce que nous avions à faire. USMed ne s’embarrassait pas de subtilités – un échec sur tel ou tel point, et vous perdiez votre emploi. Au moindre faux pas, c’était la porte. Il était donc difficile de convaincre les Mexicains de suivre nos protocoles et nos procédures. Le changement n’est jamais facile, mais obtenir d’eux qu’ils suivent certaines de ces règles tenait vraiment du défi ».[1]
Étape 2 : Identification du problème
À la lecture de l’étude de cas, plusieurs problèmes font surface et découlent majoritairement du fait qu’USMed n’a pas tenu compte des différences entre la culture américaine et la culture mexicaine en voulant s’installer dans un pays étranger. Les employés étant apportés à travailler ensemble et ayant des cultures différentes, des habitudes et attitudes distinctes sont confrontées à divers obstacles. Un manque de compréhension et de communication entre les dirigeants américains et d’USMed et les gestionnaires mexicains et les employés mexicains est teinté de méfiance. On constate un manque flagrant de confiance entre les deux cultures qui ne comprennent pas la réalité de l'autre et qui n'arrivent pas à bien communiquer et travailler ensemble. Considérant qu’Angelica devait diriger les travailleurs mexicains selon les normes américaines et qu'elles n'avaient pas été préparées aux défis qu’elle devrait surmonter à l'usine de Tijuana n’aidait en rien à son intégration surtout que l’organisation américaine ne lui offrait guère de soutien. Le contraste entre les deux cultures créait des problèmes considérables dans la gestion des ressources humaines et du comportement organisationnel. Leur relation était teintée par un mélange d’incompréhension et de ressentiment, surtout envers Angelica qui pour certaines elle était la voleuse d’ouvrage. Aucune politique de gestion n’étant mise en place, les consignes n'étaient pas claires pour les travailleurs qui n'étaient pas familiers avec ces
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