ENRON etude de cas
Étude de cas : ENRON etude de cas. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar sophialz • 24 Octobre 2017 • Étude de cas • 788 Mots (4 Pages) • 1 208 Vues
[manuel p.75-79]
Signature de chaque personne dans l’équipe aujourd’hui (nom absent = 0 point!) :
(* * * Inscrire le nom d’un coéquipier absent constitue une infraction grave et sera sanctionné * * *)
_Laeticia Poiré-Hill ,Sophia Zennadi,Marie-eve Gosselin,Luis Guadalajara ,Nicolas Tremblay, Julien Prince Cloutier
1. Dites à quel stade de développement moral en était l’organisation selon la typologie de Reidenbach et Robin (1991). Expliquez.
Dans le cas de Enron, il est évident que l’organisation était seulement au premier stade de développement moral selon la typologie de Reidenbach et Robin, soit au stade de l’organisation amorale, puisque les dirigeants ne voulaient que s’en sortir coûte que coûte. Ainsi, ils faisaient des actions illégales telles mentir sur leur chiffres d’affaires en se disant que tant qu’ils ne se faisaient pas prendre ils pouvaient continuer à tromper tout le monde.
La preuve, c’est qu’un des haut placé chez Enron affirme que le « succès » d’Enron est basé sur la prise de grands risques en espérant que tout se passe bien pour l’organisation.
2. Le documentaire décrit plusieurs situations ne respectant pas les principes de bonne gouvernance. En vous basant sur les principes de responsabilité sociétale proposés par la norme ISO 26000 ((p.26) ou les encadrés 3 et 4 – p.77 à 79), relevez les éléments qui posaient problème à Enron.
La société Enron manquait de transparence puisqu’on faisait croire à tout le monde que leurs bénéfices augmentaient sans cesse. La société a augmenté les salaires de ces cadres en faisant croire que ses bénéfices augmenteraient de 10-15% pour la prochaine année même si c’était absolument faux. Un autre exemple du manque de tranparence de la compagnie est le fait qu’un employé a fait disparaitre des documents importants dont les actionnaires et la population auraient dû être mis au courant.
De ce fait, la société n’a pas pris en compte le respect du principe de légalité puisqu’elle n’a pas fournis les véritables chiffres et données à ses partenaires ainsi qu’à tous ses investisseurs tels les gens qui ont cotisé dans l’action d’Enron à la bourse. De plus, le directeur financier a aussi fait de l’évasion fiscale en dissimulant des pertes de 30 milliards $US en créant d’autres compagnies, ce qui permettait à l’action boursière de continuer à monter en flèche malgré le déficit budgétaire de l’entreprise.
Enron n’a pas non plus respecté le principe de redevabilité puisqu’elle n’a pas su répondre aux impacts de ses actions sur la société, soit mentir par rapport à sa véritable rentabilité, ce qui a causé de graves préjudices à ses partenaires, à ses investisseurs ainsi qu’à tous les gens qui ont investis dans Enron et qui ont tous perdu. De plus, lorsqu’il était le temps de s’exprimer devant le grand public par exemple lors de conférences de presse, les dirigeants n’exprimaient pas les faits réels, soit le fait que la compagnie n’allait pas bien du tout.
Ainsi, il est évident que l’entreprise Enron n’a pas su adopter un comportement éthique envers tous les parties prenantes dans son environnement. Par exemple, l’organisation a décidé de faire une mise à pied de 15% de ses employés par année (à la suite de l’examen de performance), et ce, malgré le fait qu’elle laissait paraître sa prospérité à tous.
3. Quels rôles ont joués (ou n’ont pas joués) les parties prenantes d’Enron et son environnement institutionnel dans sa dérive éthique? Expliquez votre réponse
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