Sido et Les vrilles de la Vigne

Oral du Bac 2eme partie : Colette :

Sido et Les vrilles de la Vigne

PRÉSENTATION DE L’ŒUVRE :

• J’ai choisi de vous parler aujourd’hui de « Sido » et « Les vrilles de la Vigne » ,écrit par Colette, une figure emblématique du paysage des lettres françaises du 20éme siècle. Le premier livre, écrit en 1930, « Sido », est un récit où se mêle autobiographie et lyrisme en 3 chapitres dédiés aux membres de sa famille et au titre éponyme. En effet Sido est l’acronyme de la mère de Colette, une femme presque divine qui s’impose comme le personnage principal de son enfance et qui voue un vrai culte pour la nature. Tandis que« Les vrilles de la Vigne », un recueil de 20 contes et nouvelles parut en 1908, rassemblent les souvenirs d’enfance de l’écrivaine et où l’on retrouve une série de thématiques comme son amour pour les animaux et son amante Missy ou encore son admiration pour la nature transmis par sa mère.

JUSTIFICATION DU CHOIX DE L’ŒUVRE :

• J’ai tout d’abord choisi de commenter ces œuvres car, ce qui m’a le plus plu, c’est l’écriture de Colette. En effet, en mélangeant lyrisme et autobiographie, elle parvient à nous faire découvrir de nouvelles sensations qu’elle a ressentie physiquement au travers de différents sens comme par exemple le toucher, l’odorat ou encore la vue. Elle arrive de cette façon, à décrire les paysages de son enfance et à en restituer les plaisirs. Aussi, la richesse du vocabulaire et l’utilisation de termes précis et techniques pour nommer la faune et la flore nous permet donc de parfaitement imaginer la scène que conte l’écrivaine et à en reconstituer l’ambiance.

• De plus, ce que j’ai apprécier, c’est la célébration et la connivence avec la nature. Effectivement, on remarque au cour de la lecture des deux œuvres que Colette apprécie particulièrement ces moments privilégiés de solitude avec la nature et semble vivre en harmonie avec celle-ci .  Transmis par sa mère, l’amour de la nature éprouvé par l’écrivaine est puissant, ce qui lui permet de montrer au lecteur une nature vivante de personnification, notamment lors de la description méticuleuse de son jardin d’enfance,  et de ce fait, d’occuper une place importante au seins du recueil, célébrer l’univers de son enfance et de le rendre encore plus beau.

•  Enfin, lire les deux œuvres de Colette m’a permit une meilleure compréhension de ce que signifiait : la célébration du monde. Car au travers de « Sido et les Vrilles de la Vigne » l’écrivaine célèbre et honore l’univers de son enfance, grâce à une description lyrique des membres de sa famille, ce qui est très touchant de notre point de vue de lecteur. Mais aussi, elle celebre la nature en réalisant une éloge.

CONCLUSION :

• Pour conclure, j’ai trouvé que ces deux œuvres recelaient d’une certaine magie car Colette entreprend le rôle de transfiguratrice du monde grâce à sa plume. Mais aussi, elle ouvre un nouveau regard sur le monde qui l’entoure.

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