La mondialisation de l'économie cas

INTRODUCTION

La mondialisation est un processus multiséculaire d’internalisation des échanges (économique, financier, politique, culturel ou d’information) qui engendre une mise en relation des territoires du monde et d’acteurs différents (Etats, institution, ONG) qui s’organisent en réseau ou en archipel, interdépendant à la surface du globe, tant s’articulant en un système très hiérarchisé reposant sur des logique d’intégration ou de marginalisation à différents niveau.

I. LES DOMAINES D’ECHANGES

1. Les flux humains

Près de 175 millions de personnes résident actuellement dans un pays différents de celui où elles sont nées.

La plupart d’entre eux vive en Europe (56 millions), en Asie (50 millions), en Amérique du Nord 41 millions.

Les raisons de ces migrations sont multiples et complexes :

La raison économique est la plus importante. Elle est due au différentiel Nord-Sud de croissance démographique et de richesse économique. En effet les pays développés ont un croissement démographique lent.

Les populations sont vieillissantes ce qui implique pénurie. A l’opposé dans les pays sous-développés, l’accroissement naturel est élevé, une population jeune qui fait face à un chômage et à un sous emploi chronique. La raison de cette migration peut être politique le cas des refugiés.

A la fin de 2000, on dénombrait 16 millions de refugiés dans le monde, victime des guerres civiles ou internationales, des génocides ou de répression politique.

L’Asie et l’Afrique comptent le plus grand nombre des refugiés (4 à 9 millions).

Les flux touristiques internationaux s’expliquent par l’attraction des grandes métropoles mondiales, des littéraux, tropicaux, des stations ski, des sites naturelles au paysage splendide, des sites historiques et haut lieux cultures.

2. Les flux économiques

Le monde se rétrécit et devient de plus en plus fluide. En effet le développement rapide du commerce et les progrès techniques en matière de transport et de communication qui sont mutuellement stimulés. Le coût du transport à considérablement diminué, la facilité et le volume des échanges se sont accrues. Les flux se sont mondialisé, les progrès techniques spectaculaires et décisif, depuis 1945 ont accru la rapidité la rapidité des moyens de transports (avions, TGV, autoroute), augmente la capacité de transport phénomène très net dans le transport maritime avec des géants des mers (pétrolier, minéraliers) on assiste à la spécialisation, la complémentarité et la concurrence des moyens de transport.

Le transport maritime est le moins cher de tous, il assure 2/3 des échanges mondiaux.

Le transport aérien rapide mais couteux assure les liaisons lointaines qui transporte voyageurs et marchandises légères.

Les conduits permettent de transporter des fluides (oléoducs, gazoducs, caloducs).

L’automobile règne sur les courtes distance en milieu urbain depuis 1945, on une forte croissance de commerce international en volume. Déjà au XIXe siècle les échanges croissent plus rapidement que la production mondiale. Mais le phénomène s’est accéléré, une plus grande ouverture et inter indépendance économique est observé.

Les échanges des matières premières sont devenus un enjeu stratégique du fait de la nature même des produits (énergie et produits agro-alimentaires) avec un poids particuliers du marché du pétrole. Le commerce des produits manufacturés est en pleine croissance avec 75% des exploitations mondiales. Les échanges des services progressent plus rapidement que celle des échanges des marchandises.

3. Les flux des capitaux et celle des informations

3.1. Les flux des capitaux en pleine expansions

Les grandes places financières sont au cœur des flux de capitaux des bourses sont des centres d’impulsions de la finance internationale. Ce sont des lieux privilégié de l’échange des capitaux, des marchés financiers, il existe une interconnexion des grandes places financières et notamment les grandes bourses 24h/24. Les pôles Etats-Unis, Europe occidentale et Japon dominent.

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