LA MONDIALISATION CAS

                                                     Géographie

La mondialisation dans sa définition la plus commune, est le processus d’ouverture de toutes les économies nationales sur un marché devenu planétaires. Dans le cas de la Guadeloupe, département français d’outre-mer, le processus de mondialisation n’a pas pu épargner ce territoire situé en plein cœur de la Caraïbe insulaire, faisant plus ou moins office d’interface entre la France et les États-Unis. Comment se traduit le processus de mondialisation en Guadeloupe et quelle conséquence entraine-t-elle ?

La mondialisation dans sa forme économique implique une certaine interdépendance dû à l’action de son mécanisme complexe. La Guadeloupe ne peut y échapper. De par son attachement à la France et de sa proximité aux Etats-Unis qui sont deux grands pays far, dans l’expression de la mondialisation, l’iles de la Guadeloupe se retrouve plongé dans cette complémentarité, traduite par une concurrence accrue. En effet la Guadeloupe offre la caractéristique de posséder un système productif complet, par rapport au pays voisins de la zone qui dispose soit d’une économie de rente (pétrole et forage offshore), soit d’une économie polarisé (le tourisme). La diversité des produits économiques propre à la Guadeloupe s’oriente de ce fait vers le Pôle et entre sur le marché de libre-échange mondial ou tout tente à être standardisé. Ainsi dans le secteur de l’agriculture où les produit qui exerce les flux les plus importants sont la banane, le sucre, le rhum et depuis 2001 le melon, certaines de ces productions ont subi les pichenettes des normes Européenne pour se voir affiché au rayon mondiale. Ce qui à pousser à la naissance de nouvelle production tel que le melon (9000 tonnes en 2007) pour abdiquer l’effet du nom respect de la norme nouvelles sur les pratiques antérieures. Le secteur du tourisme a aussi empathie de l’effet du processus de mondialisation, en dehors de la crise de 2000 -2006 où plusieurs chambre (d’hôtels) ont dû fermer pour cause de la concurrence accrue et des normes portant à toujours tout aligner. Cette interdépendance se traduit également par le soutient du Pôle, et de ses divers interfaces (U.E), pour des avancés urbain même si ces derniers caches souvent une double portées culturel et lucratif, tel que les boulevards, les routes et monuments, mais l’exemple le plus marquant serai le « Mémorial Act » qui a pour fin de favoriser le développement économique ( via un tourisme de masse ), à réduire l’inégalité socio-spatial (sa construction à impliqué la remise à neuf de quartier aidant ainsi à un meilleur accueil du publique).

Le processus de mondialisation enveloppe également une déréglementation qui vise à promouvoir le libre-échange par la libéralisation et ainsi de permettre une meilleure application de l’action. En effet la mondialisation des services rayonne sur l’économie guadeloupéen. Sous l’effet du développement des activités de conseil, d’expertise et de sous-traitance, la richesse produite par le secteur tertiaire s’est fortement accrue entre 1993 et 2003.

Pourtant la mondialisation s’applique avec ces conséquences et la Guadeloupe, là encore ne peut y échapper. Le processus de mondialisation intervient avec l’uniformisation des modèle sociétal, économique, et tente à créer une culture mondiale avec pour principe de forme la mise en concurrence des produits de toute nation confondu entre elle-même. La naissance de l’idée de patrimoine mondial est aujourd’hui très répandue et ce également sur la petite île de Guadeloupe. Cette conception ou idéologie propagé par l’UNESCO, qui en dresse les formes et les courbes à travers sa liste de « mémoire du monde » pousse à penser que les cultures et monuments propre à chaque nation peuvent se voir perdu ou oublié si elle ne font pas partie de la mémoire du monde.

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