Relation internationale

RELATION INTERNATIONALE

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Accords de Westphalie: Traités conclus en 1648 entre l'empereur Ferdinand III, la France, la Suède et leurs alliés respectifs pour mettre fin à la guerre de Trente Ans. Ils marque la naissance de l'Europe politique moderne.

Guerre de 30 ans: Guerre de religion qui ravagea l'Europe, particulièrement le Saint Empire, de 1618 à 1648, et qui se prolongea entre la France et l'Espagne jusqu'en 1659. ( faire des recherches dessus )

Systeme westphalien: relations égalitaires entre États

Anarchie: Désordre résultant d'une absence ou d'une carence d’autorité.

SDN: La Société des Nations est la première tentative pour faire fonctionner une organisation universelle des États, principalement créée pour régler les problèmes de sécurité collective.

ONU: Organisation des Nations Unies

Monde multipolaire: Elle désigne une période de l'histoire où le monde n'est plus dominé par une (unipolaire) ou deux (bipolaire) puissances mais par une multitude d'entités : Des états en premier lieu (Etats-Unis, UE, BRICS...) mais aussi des firmes multinationales (Google par exemple), des organismes internationaux (l'OMC, le FMI, l’ONU)

BRICS : BRICS est un acronyme anglais pour désigner un groupe de cinq pays qui se réunissent depuis 2011 en sommets annuels : Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud ≠ INTERS COLONIAUX ( Faire des recherches )

RELATION INTERNATIONALe

Les courants de pensées relatifs aux relations internationales sont:

Le réalisme: ce mouvement correspond à la vision politique mettant en avant des facteurs explicatifs: les faits, les interêts et la force. Tout ceci porté par l’importance du rôle que jouent les états dans le droit internationale. Dans cette idée se divise deux visions: le réalisme offensif qui illustre la recherche « d’allié » de la part des États afin d’attiré le plus de profit possible. Et par opposition nous avons le réalisme défensif qui se base sur les pays qui ne cherchent qu’à se défendre.

L’idéalisme: Basé sur l’idée que l’homme est essentiellement bon, la faille perçu par ce mouvement serait l’organisation des institutions qui mènerait au profit. Il croit en l ‘évolution des relations internationales si celle si mettent en avant le respect de l’homme et de la cohésion internationale. Dans cette perspective, les valeurs, les normes et le droit sont des facteurs déterminants qui structurent le point de vue des acteurs et expliquent leurs comportements.

Le libéralisme: Selon ce mouvement, contrairement à l’idéalisme, l’état n’est pas en lui même un acteur du droit international mais un outil représentatif de la société civil de celui ci. Elle permet de mettre en avant, sur la scène internationale, les préférences des individus de cette société. ( = HUMAIN D’ABORD) . Dans cette vision, un État ou prône la dictature sera plus agressive sur la scène internationale puisque celui ci ne verra la solution que dans la

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