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Le comportement humain dans l'organisation

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Par   •  17 Janvier 2017  •  Cours  •  2 052 Mots (9 Pages)  •  2 826 Vues

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Thème 5 : Comportement humains dans l’organisation.

Chapitre 1 : Les perceptions et les représentant sociales

        1) Les perceptions

Une perception est une compréhension plu ou moins nette de quelque chose ; d’une chose, d’un évènement, d’une personne dépend de facteur interne (culture, connaissance, attentes).

Elle dépend aussi de facteurs externe comme la taille, la couleur, la nouveauté.

Les perceptions d’un individu influencent son comportement. Les perceptions peuvent avoir un impact sur les personnes sur lesquels elle portent, cet effet appeler effet Pygmalion→ si les perceptions sont positive les résultats seront supérieure.

        2) représentation sociales

        2.1) définitions

Une représentation sociale est un savoir partager par un groupe.

- Points positifs : communication facile elle oriente les attitudes et comportements

(Standardisation des normes donc efficacité d’organisation)

- Points négatifs : cela entraine une difficulté d’intégration et empêche l’innovation notamment du l’exclusion.

Exemple : stéréotype= croyance partagés par un groupe qui concernent les caractéristiques d’un groupe de personne

Préjugés : jugement portant sur une autre personne ou sur des choses. Ils sont issus du processus de socialisation. Comme l’appartenance à une culture.

Les préjugés et stéréotype peuvent nuire à l’entreprise : peut être source de discrimination, peut générer des erreurs de jugement. Les préjuges peuvent générer des attitudes négative face à l‘extérieur, frein à l’innovation.

3) L’effet HALO

L’effet de halo est le fait de se basé sur un trait particulier d’un individu pour se former une impression favorable ou non de sa personnalité dans son ensemble et de son comportement général de l’individu.

CHAPITRE 2 : L’individu au travail

        1) La personnalité :

C’est l’ensemble des traits moraux propres à un individu. Notre personnalité se construit par nos expériences et des rencontres.

3) La motivation des salariés au travail

La motivation est facteur qui pousse l’individus à l’action

a) La motivation va entrainer la créativité et la productivité.

Des salariés motivés vont avoir une productivité qui est plus importante et une meilleure qualité de production. Par ailleurs les salariés motivés font preuve d’avantage d’esprit créatif. → Effet bénéfique à la compétitivité.

La motivation joue un rôle dans les attitudes des salariés envers les organisations.  Les salariés motivés sont d’avantage satisfait dans le travail ce qui réduit les conflits et la zone d’incertitude ou certain individus cherche en premier à satisfaire leurs propres besoins avant les besoins de l’entreprise.

        - Taux absentéisme, Turn Over → des salarié motivé on moins l’envie de changer, le taux de rotation est donc faible. La motivation réduite les coup d’agence.

La recherche de l’intérêt personnel : Michel Crozier a démontré qu’il existe dans toutes les entreprises des zones d’incertitude, c'est-à-dire des instants où l’information qui sert à la prise de décision n’est pas parfaite. Les acteurs économiques vont alors essayer d’imposer dans les décisions des éléments qui ne servent plus l’entreprise mais leurs propres aspirations. Comme ils n’ont pas tous les mêmes désirs, Ils pourront aussi mettre en place des alliances afin de renforcer leur position et d’influencer ainsi plus fortement la décision du dirigeant. Ils constitueront alors un contre-pouvoir d’autant plus efficace qu’il est organisé et structuré.

Pour cela l’employeur doit mettre en place un contrôle des salariés. MAIS Si les salariés sont motivés il n’est plus utile de les contrôler, les cout d’agence sont donc plus faible

3.2.1) Taylor est l’approche classique

        

        Pour Taylor il n’y a que le salaire qui motive le salarié et préconise-lui un salarié au pièces (+ le salarié produit + il gagne). Idées de la carotte, les manageurs motive les salarié en prévoyant des primes ou encore des commissions.

Les limites de mode de travail → la recherche sans arrêt de profit incite a faire plus vite (+ productive) dans leurs taches et donc peux engendrer une perte de qualité.

C’est expérience (Hawthorne) sont à l’origine de nb travaux qui montre que l’homme n’est pas motivé uniquement pars l’argent.

3.2.2) La théorie de Maslow

[pic 1]

Pour Maslow ce qui motive les individus est la recherche de satisfaire des besoins, les besoins inferieurs et les besoins supérieurs.

3.2.3) La théorie ERG :  

Pour Albert Fehr c’est la volonté de satisfaire des besoins qui motive les individus.

        E → Les besoins d’existence

        R → les besoins de socialité (relatednem)

        G → les besoins de développement (Growth)

Pour Mack Lennon il y a un besoin pour chaque individu qui le motive plus que d’autre.

→ La théorie bi-factorielle de Herzberg.

Pour Herzberg, il existe 2 types de facteurs :

  • Des facteurs de satisfaction qui sont susceptibles de généré de la motivation qui peuvent causer des facteurs de satisfaction.

Herzberg propose un élargissement horizontal du travail c’est à dire à accroitre la polyvalence. Cela consiste à délégué à l’individu des responsabilités de l’autonomie.

Les individus comparent

→ La situation par laquelle l’individu détient un avantage plus avantageux que d’autres va motive se dernier. Les individus peuvent chercher à modifier leurs ratios soit en faisant varié leur contribution dans l’entreprise. D’après cette théorie les manageurs doivent s’assurer qu’il existe une certaine équité. Cette théorie est confortée par un arrêt de cassation qui dit A travail= salaire égale.

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