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Le commerce international

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Par   •  10 Décembre 2015  •  Cours  •  914 Mots (4 Pages)  •  764 Vues

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Le commerce international

  1. L’ouverture des économies
  1. La balance des paiements

C’est un indicateur de bonne santé. La balance des paiements retrace l’ensemble des flux éco et financiers entre un pays et le reste du monde (biens, services, capitaux). La balance des paiements est élaborée par la banque de France, cette balance obéit aux principes de la comptabilité à partie double. On s’intéresse au solde intermédiaire.

On distingue trois grandes rubriques, tout d’abord les transactions courantes, ce sont les échanges de biens et services, les revenus primaires et secondaires. On trouve aussi le compte financier qui enregistre les investissements directs (prise de participation), de portefeuille (logique spéculative) et les instruments financiers dérivés (titrisation et autres produits). On trouve aussi les autres investissements, cad les opérations de prêts et emprunts, et enfin les avoirs de réserves.

On va interpréter le solde des transactions courantes. Un pays peut avoir un déficit commercial par une forte croissance, une dépendance énergétique et un problème de compétitivité.

La balance des transactions courantes peut être excédentaire ou déficitaire. Depuis les débuts des années 80, un certain nombre de pays sont devenus structurellement excédentaire ou déficitaire, les pays déficitaires ont un besoin de financement, cad qu’ils vivent au-dessus de leurs moyens.

A l’heure actuelle, la chine et l’Allemagne financent en partie le reste du monde. La France est déficitaire, surtout sur les échanges de biens, en conséquence nous sommes obligés d’emprunter. On peut aussi analyser la situation d’un pays en fonction du degré d’ouverture, on calcule alors le taux d’ouverture, c’est la part de l’activité d’un pays qui est lie aux échanges de biens et services avec l’étranger.

(Export +import / 2)/PIB

En France un tiers de la richesse est lie au commerce extérieur.

Le degré d’ouverture dépend de la taille du marché intérieur, de la spécialisation, des accords de libre-échange et des moyens de communication. On s’intéresse aussi au taux de couverture (export/import x 100). La France exporte essentiellement vers les pays géographiquement proches. Ceci est lie à l’intégration européenne.

L’ouverture des économies a permis une forte progression des échanges même si tous les pays et secteurs ne sont pas impliqués dans le commerce international. Le commerce augmente plus vite que la croissance, On dit que les exportations tirent la croissance. Le commerce mondial est principalement intra branche. Même si les échanges de services se développent, mais aujourd’hui nous sommes encore tributaires produits manufactures (80%-20%).

Le commerce intra régionale domine le commerce mondial. On a aussi un commerce Europe, Asie, Amérique du nord (triade). On voit aussi apparaitre de nouveaux pays (brics).

  1. Le taux de change

Une opération de change consiste en la conversion d’une monnaie dans une autre. Sur ce marché se forme le taux de change (marche des devises), c’est la quantité de monnaie étrangère que l’on peut se procurer avec une unité de monnaie nationale. Théoriquement, le taux de change doit refléter la parité des pouvoirs d’achats. Le problème c’est de comparer les paniers de produits. L’indice big mac est une mesure de parité de pouvoir d’achat. Les taux de changes diffèrent de la parité de pouvoir d’achat. Lorsque le taux de change est supérieur a la parité de pouvoir d’achat, alors la monnaie est surélevé. On estime que le tx de change de l’euro en dollar est supérieur a la parité de pouvoir d’achat. A partir des années 70, on est passé dans un système de change flottant. En conséquence, les monnaies fluctuent en fonction de l’offre et de la demande. En conséquence la valeur d’une monnaie est liée à l’offre et à la demande de cette monnaie. Les exportations vont exerces une appréciation du taux de change. Les mouvements de capitaux jouent aussi un rôle. Les entrées de capitaux engendrent une appréciation de la monnaie. En conséquence la politique monétaire influe sur le taux de change.

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