La psychopathologie

Cours 4

La psychopathologie avec en arrière fond une perspective clinqiue orientée au cas par cas.

La psychopathologie est un domaine avec plusieurs angles théoriques pour l’aborder, psychatrique (nord américain, basée sur l’observation de syndrôme avec une correspondance au médicament) psychoméditique (basée sur l’écoute du sujet, la psycho ne prend son sens que sous transfert)

La question du diagnostic, avec celle du secret professionnel.

De base nous pouvons constater que la psychanalyse a été spécifiée par le type de secret qu’elle gère (familiaux (latent dans la stucture des familles) et inconscients chez lacquant il y a une corrspondance entre les 2, il considère que les symptômes viennent traduire ce qu’il ne peut pas se dire dans les échanges familiaux. Donc dans la démarche clinique on part du fait que le sujet ne peux pas éviter de mentir. L’idée m^me de l’inconsceint suppose que le sujet ne sait pas tout de lui-même, il ne pourra dire sa vérité subjective que de manière détourné.

Le sujet est détourné entre des idéaux sociaux et les objets pulsionnels. Tout sujet doit donc être considéré comme divisé et toute unification du sujet doit être considérée comme artificielle>. Tueur ne peut pas dire pk il a tué, la démarche clinique met aussi en avant le lien avec les autres personnels : quels infos on peut transmettre ou pas a ses collègues.

Il existe des moments ou il peut dire aux autres spécialistes alros même qu’il est soumis au secret professionnel.

Par exemple dans le milieu scolaire, il s’agit de donner un avis aux éducateur, aux professionnels, au parent, pour qui la psychopathologie viendra toujours en second plan.

Souvent pour ces professionnels les questions de psychopathologie viennent en second plan mais quells sont les interets de les transmettres. De manière générale, il faut éviter de restranscrire des choss qui peuvent être incomprises et préjudiciables pour le patient.

L’impact que peut avoir une nominationd’une psychose auprès du partenaire n’est pas a négliger , car interpréatation des autres en fonction de ses propres referentiels

Démarche clinique rentre en concurrence avec d’autres logiques : éducatives, commerciale (tout un point de la psychopathologie est orienté vers des interets economiques qui sont antinomiques avec une démarche clinqiue basée sur le cas par cas. Concernant la clinique avec les enfantq, les firmes pharmaceutiques pour des raisons commerciales promeut le trouble de l’attention et de l’hyperactivité et on assiste nottament aux etats unis a une épidémie car le diagnostic est plus facilement mis en œuvre et on met sous médicament pour des enjeux économiques.

Ces étiquettes sont justifiées a partir d’étude scientifique présenté comme validant leur validité sans discussions de fond concernant la portée exact de ces argumentations, le sens de ce qui est montré et plus fondamentalement, le véritable contenu de ces diagnostics.

D’un autre côté certains diagnostics présentes de réels interet pour les enfants et les adultes nottament la notion de handicap, qui a été promeut comme une quasi notion psychopathologique et a permis par exemple de lever des fond pour prendre en charge au niveau institutionnel le necessitaire.

Certains diagnositcs sont nés de la rencontre psychopathologie/criminologie, la causalité de la délinquance au niveau psychologique va impacter sur le type de décision que vont prendre les juges, sachant que suppos&é une causalité psychologique c’est bien.

Dans les années 50, les jeunes délinquants étaient considérés comme immatures, cette étiquette supposé qu’ils étaient incapable de saisir ce qu’était la loi à cause d’un développement retardée ou perturbé. Cela laissé aussi supposé qu’avec une prise en charge adéquate et assortie avec une sanction légère, ces délinquants pouvaient évolués dans le bon sens.

Ces dernières années il y a un mouvement qui consiste à aller vers un retour en arrière, sous le précédent gouvernement il voulait detecter les futurs délinquants par l’agitation de l’enfant dès 3 ans par un diagnostic. Avec une inscription dans un profil informatisé. Contre ça , il y a eu une mobilisation pas de 0 de conduite

----→ La démarche clinique est en tension avec d’autres formes de pouvoir et elle défend une certaine forme de sujet et de lien social. Le fait d’étiquetté ne peut que crée des effets d’identification qui finissent par générer ce dont on a dianosticé de lui auparavant.

Cette vision immature du délinquant , on a aussi l’idée de perversité.

Certaines étiquettes correpsondent a des besoins sociaux ou a des stratégies professionnels particulière donc le diagnostic n’est qu’un semblant, il ne vient pas réellement dire ce qu’est l’individu diagnosticé.

Il s’agit d’attirer pour nos pouvoir publiques l’attention sur la société défavorable pour construire des fonds et des établissmeents adaptées --- > C’est le cas de l’étiquette désarmoni-d’évolution promut vers 1960 par roger Mises. Cette étiquette recouvre presques toute la psychopathologie infantile avec une cerrtiane gravité qui necessite des soins durables. L’enjeu sous jacent de cette étiquette était de considérer de faire entendre que les enfants en question n’étaient pas a concevoir ocmme défécitaire mais comme susceptible d’évoluter.

Donc derrière cette etiquette on avait des enfants psychotiques et nevrosés avec des causalités psycho-dynamiques ou organiques.

La question des courants en psychologie afind e repérer que l’orientation psychanalytque est un courant parmis d’autres. Le premier courant : Les courants organicistes/ Ce sont des courants qui essayent de montrer la présence ou l’importance d’une causalité organique dans les troubles mentaux il en existe plsrs versions, allant du reductionnisme le plus stricte a des conceptions qui tentent de délimiter ce qui est organique ou psychogènes.

L’idée est que tout trouble psychotique est lié à un trouble organique. On considère que c’est une lecture réduite par cette lésion (vision environnementale ..)

C’est un domaine dans lequel certains journaux présentent souvent ce qui serait des nouvelles découvertes mais finalement on voit que rien n’a été découvert de connu au niveau de troubles organiques, mais au niveau médiatique ‘est présenté comme nouveau.

-→ Ceci correspond a des enjeux pharmaceutiques.

La question des courants expérimentalistes , ils essayent d’étudier les ttroubles psychiques selon des programmes experimentaux. Au niveau de la méthode c’est soit de la statistique appliqué a de l’épidémiologie soit à de la psyhcologie différentiel. Ca peut correspondre a des questionnaires en psychologie de la santé et souvent sa vise a prouver l’efficacité de programmes thérapeutiques ou de préventon et donc ca ne met pas suffisament l’accent sur les troubles et leur logique, ca vient plutôt évalué mais ca ne permet  pas d’individualiser le résultat, donc d’affiner la connaissance de la pathologie.

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