Raisonnement Clinique situation « Paul »
Cours : Raisonnement Clinique situation « Paul ». Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar camille2711 • 13 Avril 2023 • Cours • 350 Mots (2 Pages) • 231 Vues
Raisonnement Clinique situation « Paul »[pic 1]
Lisa est en stage dans la crèche Carrousel et Calins de Longpont sur Orge. Cette structure accueil 12 enfants de 2 mois a 3 ans. Elle respect le rythme de l’enfant, favorise la verbalisation, le travail au sol, elle mélange les âges, favorise le portage en écharpe et la langue des signes. Lisa à en charge Paul, 10 mois arrivé il y a 5 jours dans cette crèche.
Ce matin, Lila fait le change de Paul. Elle ne connaît pas beaucoup Paul car elle est arrivée en même temps que lui dans ce nouveau lieu de stage et c’est la première fois qu’elle lui fait sont change. Pendant le change, il évite le regard de Lila, tourne la tête pour ne pas croisé sont regard, il à le corps mou, il est passif mais il se laisse quand même changer sans expression ni participation.
Cette après-midi, c’est Hélène, auxiliaire de puériculture référente de Paul qui faite sont change. Paul agite les jambes et les bras, la regarde, lui sourit, saisit ses pieds et attend le jeu des chatouilles.
Pourquoi Paul n’a pas la même attitude entre Hélène et Lila ?
Pourquoi Paul à peur des personnes du monde extérieur ?
Pourquoi il a peur de Lila ?
La peur des étrangers est partie intégrante du développement de l’enfant. Elle commence à se manifester généralement vers l’âge de 8/9 moi et jusqu’à généralement 2/3 ans. La peur des gens étrangers au cercle familial immédiat de l’enfant survient en même temps que s’amorce le processus de séparation avec la mère. Il prend alors réellement conscience que d’autre personnes gravitent autour de sa maman.
Peut-être que Paul à peur des personnes de l’extérieur
Peut-être que Paul à peur de Lila
Peut-être que Paul a l’habitude d’être très souvent dans les bras de sa maman
Actions :
- Faire passer à Lila plus de temps avec Paul pour qu’il prenne des repères
- Ne pas renier sa peur en lui disant « ce n’est rien » ou ne pas surprotéger l’enfant mais lui demander pourquoi il a peur de cette personne
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