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Banque participative, produits traditionnels cadrés autrement

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Par   •  3 Février 2018  •  Analyse sectorielle  •  444 Mots (2 Pages)  •  897 Vues

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Banque participatif, produits traditionel cadré autrement

En janvier 2017 la Banque centrale accorde des agréments aux établissements participatifs pour commercialiser des produits (islamiques). En effet trois banques sont déjà opérationnelles, Il s’agit d'Umnia Bank (filiale de CIH Bank et Qatar International Islamic Bank), de Bank Assafa (filiale de Attijariwafa Bank), et Bank Al Yousr (filiale du groupe BCP et du Saoudien Guidance).

L’atterrissage de ces institutions permet de rependre au besoin (services bancaires estampillés halal) d’une grande partie de la population, 98% des marocains confirme une étude publiée en 2014 par Islamic Finance Advisory& Assurance Services.

La BAM a réglementée la nouvelle activité par la circulaire1/w/17 qui octroie quatre services participatifs Mourabaha, Ijara, Moucharaka, Moudaraba, or que cette circulaire réglemente le secteur d’une manière générale sans tenir compte des pratiques d’exécution pour que ces services répondent vraiment aux exigence et aux conformités « Halal ».

En se référant au même circulaire, en dévoile qu’elles n’existent pas des différences profondes entre les caractéristiques des nouveaux produits participatifs et les produits traditionnelles ;

A tire d’exemple, l’article 11 de la circulaire parle clairement d’une opération de vente par ordre d’achat, par l’établissement d’un contrat exigent le client à acheté le bien en question;

Aussi bien l’article 9 qui pénalisent le client par l’exigence de payement des pénalités des dommages causé à la banque suite au non payement de la traite à la date d’échéance.

Ce qui met en question l’alignement de ce produit participatif avec les modalités de l’opération « Mourabaha »  exigé par la religion. Se qui donne l'intuition que ce dernier fais l’objet d’une opération de leasing nommé autrement ou une simple opération de crédit (sans intérêt) dont les intérêts sont payé implicitement avec les frais de dossier.

En effet les produit classique son plus avantageux pour un client en terme d’optimisation puisque l’article 12 du même note circulaire donne droit à la banque d’exiger au client de payé une caution appelé « Hamich al jidiya » remboursable mais qui peut être encaissé par la banque en cas du non achat du bien question du « Mourabaha » par le client ; plus les différentes garanties exigées par l’article 9.

Or qu’on peut constater qu’elle existe une grand innovation au niveau des appellations on se référent à des termes et concepts Islamiques ainsi que la forme des opérations ce qui facilitent la commercialisation des services bancaires et l’attraction des nouveaux segments clients en adaptant des produits qui répondentà des besoins psychiques en pratiquent le marketing religieux.

De nouvel pratique exercé par des filiales au sein  d’un nouveau système qui va surement élargir le taux de bancarisation ainsi faire évoluer le chiffre d’affaire de leur société mère  «banque traditionnel »

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