Droit note structurée

Droit

Note structurée

Pierre, un étudiant en fin d’étude de droit, ne sait pas vers quel métier se diriger. Trois parcours différents en termes de travail mais aussi de responsabilité s’offre à lui. Les différents parcours pouvant l’intéresser sont : le métier de juriste en entreprise, d’avocat ou de magistrat. Nous allons voir les différentes caractéristiques et compétences de chaque métier afin d’aider au mieux pierre à trouver une carrière juridique.  

I/ Juriste d’entreprise

Tout d’abord le métier de juriste d’entreprise à un statut de salarié, c’est à dire qu’il est sous l’autorité d'un employeur. C’est un métier de droit privé

Ce statut lui permet d’avoir une protection sociale, un salaire fixe tous les mois accompagnés de possibles primes. Mais cela contraint le salarié à suivre des consignes de travail précises ainsi que d’avoir des horaires fixes.

Le métier de juriste consiste notamment à rédiger des contrats commerciaux, de travail … Conseiller les dirigeants de la société pour les protéger, participer à des projets etc.

De manière générale, il faut un bac+5 pour accéder à ce poste et être spécialisé en droit des affaires, fiscal, bancaire…

II/ Avocat

La profession d’avocat à un statut libéral donc ce n’est pas liée par un contrat de travail.

 C’est une profession très réglementé et leurs revenues dépendent de leurs clients. Il n’y a donc pas de promesse de salaire à la fin du mois.  Il n’y a pas d’horaires fixes comme un salarié.

Le métier d’avocat demande une certaine indépendance. Il consiste en grande partie à défendre ces clients mais aussi à les conseiller avant leur procès.

Pour devenir avocat, il faut au minimum posséder un master 1 ou 2 en droit et passer l’examen du CAPA. Il y a de nombreuses démarches à faire.

III/ Magistrat

Le magistrat est fonctionnaire, il est un agent public de l’état. Il y grâce à ce statut une sécurité de l’emploi ainsi qu’une possibilité d’évolution de carrière.

Son métier consiste à rendre la justice, veiller au respect des lois législatives et réglementaires.

C’est une voix difficile d’accès qui demande un bac+4 au moins et de passer le concours de l’École Nationale des Magistrats (ENM).

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