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Observation situation de communication module 5 AP

Étude de cas : Observation situation de communication module 5 AP. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  1 Avril 2019  •  Étude de cas  •  1 130 Mots (5 Pages)  •  2 225 Vues

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Observation

Maxime s’assied à une des tables avec d’autres enfants et ils jouent avec un puzzle. Une AP vient le chercher. Elle marche vers lui et s’arrête à sa gauche. Elle le regarde gentiment et lui demande en souriant : « Tu viens Maxime, on va changer ta couche ? », tout en signant le mot couche, en même temps. Maxime lève un regard neutre vers l’AP et lui répond un grand « OUI », avec un grand sourire. L’AP lui sourit et fait demi-tour vers la salle de bain ; elle s’arrête devant le portillon et se retourne vers Maxime. Maxime se lève, et se dirige vers l’AP, qui est debout devant le portillon de la salle de bain. Elle lui ouvre le portillon et il rentre. Quand ils rentrent dans la pièce, la directrice est également présente en train de changer un enfant sur le meuble de change.

Maxime se dirige vers les chaises. L’AP le regarde en souriant, et lui dit aimablement : « Tu peux commencer à te déshabiller Maxime ». Maxime fixe un regard neutre sur l’AP et acquiesce de la tête en souriant. Elle se retourne et se dirige vers le meuble aux trois étagères et prend le panier attitré à Maxime. Maxime est debout devant les chaises et commence à baisser son bas de pyjama. L’AP s’agenouille devant lui, le regarde affectueusement et lui demande d’une voix douce : « Tu veux de l’aide Maxime ? » Maxime la fixe gentiment en souriant et lui dit « Oui », tout en acquiesçant de la tête. L’AP le regarde et lui dit aimablement, tout en souriant : « Appuies toi sur mes épaules Maxime ». Maxime la regarde de façon neutre et il pose ses mains sur les épaules de l’AP et elle lui demande calmement : « Tu peux lever une jambe s’il te plais ? »

Maxime acquiesce de la tête et lève sa jambe droite. L’AP baisse le regard et retire doucement sa jambe droite du pyjama. Maxime la regarde de façon neutre et la laisse faire. Puis, l’AP lève un regard aimable, vers Maxime et lui demande gentiment : « Tu peux lever l’autre jambe maintenant s’il-te-plais ? » Maxime lui dit « oui » et lève donc la jambe gauche. L’AP baisse le regard pour regarder ce qu’elle fait et Maxime la regarde faire.

Une fois le pantalon de pyjama retiré, l’AP commence à baisser la couche culotte de Maxime et elle lui retire puis elle voit qu’il n’y a ni urine, ni selle dans la couche. Elle lève un regard gentil vers Maxime, lui sourit et lui demande : « Tu veux aller faire pipi sur les toilettes Maxime ? », en signant les mots pipi et toilettes.

Maxime lui répond enthousiasment : « Oui », en acquiesçant vigoureusement de la tête.

Il se dirige donc vers les toilettes et s’assoie dessus. L’AP se lève, se retourne, jette à la poubelle la couche culotte et plie le pantalon de pyjama, qu’elle remet dans le panier attitré à Maxime. Elle sort son slip du panier ainsi que son jean et son pull. Maxime l’interpelle en disant : « C’est bon Edith, j’ai fini ». Elle se tourne vers lui, le regarde affectueusement et lui sourit. Puis elle lui tend des feuilles de papier toilette. Maxime les prend et lui dit en souriant : « Merci ». Il s’essuie, se lève puis tire la chasse d’eau.

Il se dirige vers l’AP qui s’agenouille. Elle lui dit, en le regardant aimablement et en lui faisant un sourire : « On va te rhabiller ». Maxime la regarde gentiment dans les yeux, lui sourit et fait oui de la tête. L’AP lui demande en lui souriant : « Tu t’appuies sur moi comme tout à l’heure ? » et rajoute : « On va enfiler ton slip ». Maxime met ses mains sur les épaules de la professionnelle et il lève sa jambe droite sans qu’elle ne lui demande. La professionnelle baisse le regard et l’aide à passer son pied droit, dans le trou droit du slip. Puis Maxime repose sa jambe droite. Elle le regarde gentiment et lui dit en souriant : « Tu lèves l’autre jambe s’il-te-plais Maxime » Il la lève, elle lui sourit et lui répond merci en l’aidant à passer son pied gauche, dans le trou gauche du slip. Maxime repose son pied gauche au sol. Elle remonte le slip et vérifie qu’il est bien mis. La professionnelle attrape le jean et le déplie. Elle lève le regard vers Maxime, lui sourit et lui demande aimablement : « Tu peux lever une de tes jambes Maxime s’il te plais pour qu’on enfile ton pantalon ? » Maxime lui sourit et lève la jambe gauche tout en s’appuyant toujours sur les épaules de l’AP. Elle l’aide à passer son pied gauche dans la jambe du pantalon puis elle remonte un peu le pantalon pour faire sortir le pied. Maxime pose son pied gauche et lève la jambe droite. L’AP l’aide à enfiler le pied droit dans l’autre jambe du pantalon. Puis, elle remonte le pantalon, attache le pression et remonte la braguette. Le pantalon enfilé, elle lui dit : « On remet ton pull Maxime car on va aller jouer dehors après le goûter ». Maxime la regarde de façon enjouée, fait un grand sourire et s’exclame d’un grand « Oui ». Maxime lève les deux bras en l’air et les passe dans le trou du pull fait pour passer la tête et laisse sa tête cachée dans le pull puis, il rigole. La professionnelle le regarde amusée et rigole également puis, elle s’exclame : « HO Maxime a disparu ! » Le rire de Maxime redouble. Il enlève ses bras du trou fait pour passer la tête et passe la tête puis, il répond en rigolant toujours : « Je t’ai fais une blague Edith ». L’AP le regarde avec des yeux rieurs, lui sourit et dit : « C’était une bonne blague ». Maxime continue de sourire à la professionnelle tout en passant ses bras dans chaque manche. Le pull enfilé, la professionnelle dit gentiment à Maxime, tout en souriant : « Tu t’assieds sur la chaise Maxime, on va mettre tes chaussettes ». Maxime sourit tout en acquiesçant de la tête. Il s’assoit sur une des chaises. L’AP lui enfile ses chaussettes puis elle lui dit aimablement, en souriant et le fixant affectueusement : « C’est bon tu peux y aller, tu vas pouvoir t’asseoir à table le goûter va être servi ». Maxime sourit à l’AP,  acquiesce de la tête, se lève de la chaise et se dirige vers le portillon qu’il ouvre. Puis, il court jusqu’à une table et s’assied sur une des chaise autour de celle-ci.

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