La qualité du soin infirmier

La qualité du soin infirmier

Le sujet présenté, le chapitre 3 « La pratique soignante » de l’ouvrage  «  La qualité du soin infirmier, de la réflexion éthique à une pratique de qualité »  de Walter Hesbeen  3ème Édition parue à Issy–les-Moulineaux 92442 par Elsevier Masson. Cet ouvrage a été publiée en Janvier 2017.

 « Walter Hesbeen, infirmier et docteur en santé publique, est responsable pédagogique du GEFERS (groupe francophone d’études et de formations en éthique de la relation de service et de soin), Paris-Bruxelles. Il est également professeur à l’université catholique de Louvain ( Belgique) et rédacteur en chef de la revue prospective soignante. Ce document est un ouvrage, ayant comme thème principal la prise en charge d’une personne . »

Ce chapitre sera consacré à « La pratique soignante », l’auteur nous fait part de l’activité de soignant dans différents contextes. Pour commencer il aborde les différences qu’il peut y avoir entre  « le mot soin » au singulier et « le prendre soin ».

Pour lui « le mot soin » désigne, une attention particulière apportée pour ou avec une personne, mais le « Prendre soin » quant à lui désigne, l’aide et l’attention apportée par le professionnel à une personne ayant besoin d’aide dans sa vie, on le nomme aussi « aidants naturels ».

Ce chapitre est composé de trois parties, la première :« Prendre soin dans une perspective de santé », la deuxième : « La démarche soignante », la troisième : « Le soignant infirmier ».

Dans la première partie, l’auteur nous fait part qu’au niveau professionnel, le mot soignant  ne peut pas être qualifié en tant que tels, car la notion de soignant n’est qu’un statut. Pour lui être  soignant  c’est apporter le respect et du bien être à une personne ou un groupe de personne. Mais dans certains métiers, cette réalité est oubliée, on constate que le corps de la personne est qualifié d’objet, ce qui entraine un réel écart entre ce que désir la personne (le patient) et la réponse que le professionnel lui apporte, ce qui crée un sentiment d’insatisfaction pour la personne. Car ces personnes ont besoin d’attention.

Dans une seconde partie, L’auteur indique que la pratique soignante, relève d’une démarche qui procède deux étapes : « La rencontre », selon l’auteur va permettre de tisser une relation de confiance entre le professionnel et le soignant, cette relation de confiance, va agir en diminuant l’inquiétude de la personne qui arrive dans un lieu inconnue et va permettre une meilleur prise en charge du patient.

Vient après « l’accompagnement », là intervient le métier de soignant, il va mettre la personne dans un chemin qui est le sien, sur lequel il deviendra autonome. L’accompagnement désigne une aide apportée à une personne dans l’as actions et démarches de la vie quotidienne, mais aussi d’autres actions que la personne ne peut effectuer seule.

...