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Le Paludisme

Mémoire : Le Paludisme. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  28 Octobre 2014  •  320 Mots (2 Pages)  •  1 432 Vues

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REPONSE 1 : Les individus homozygotes HbS/HbS ont des chances de survie limitées, et donc peu de chances de se reproduire et de transmettre ces allèles.

La transmission ne peut donc être assurée que par les individus hétérozygotes, alors que l'allèle HbA est transmis par les individus hétérozygotes et par les homozygotes HbA/HbA

C’est pourquoi, globalement, la fréquence de l’allèle HbS est faible.

REPONSE 2 : L'allèle HbS se maintient dans certaines populations africaines et asiatiques à une fréquence élevée (alors que sa fréquence devrait être normalement faible).

La comparaison des cartes fournies met en relation le maintien de cet allèle à une fréquence assez élevée (10 à 15 %) avec le fait que ces populations vivent dans des régions où le paludisme sévit de façon importante à l'état endémique.

On se retrouve donc devant le problème suivant : la fréquence dans une population humaine d'un allèle (HbS), apparu par mutation au hasard, est corrélée avec un facteur de l'environnement, la présence à l'état endémique du paludisme ; en résumé :

dans un environnement sans paludisme cette fréquence est faible

dans un environnement avec paludisme, cette fréquence est plus élevée

On peut donc supposer que ce facteur de l'environnement a une influence sur le maintien et la transmission de l'allèle HbS : on parle alors de sélection naturelle.

REPONSE3 :

On constate que :

- les morts du paludisme ne st jamais (sauf 1) des hétérozygotes AS 

- la mortalité des individus hétérozygotes dans un environnement impaludé est nettement inférieure à celle attendue.

Pourquoi une fréquence assez élevée de l'allèle HbS ???

Les individus hétérozygotes se trouvent donc favorisés par rapport aux individus homozygotes A/A.

les individus S/S ont tjrs une très forte mortalité

Donc , ds un environnement impaludé, les hétérozygotes ont donc une probabilité plus grande de transmettre leurs allèles de génération en génération, ce qui explique la fréquence plus élevée de l'allèle S dans les populations vivant dans un environnement impaludé, que dans celles vivant dans un environnement non impaludé.

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