Une maladie vectorielle : le paludisme

      HABOLD Jade

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Une maladie vectorielle : le paludisme

Le paludisme est une maladie qui touche l’être humain. Elle est située dans les zones tropicales, principalement au Nigéria et en République Démocratique du Congo qui ne sont pas des pays développés donc l’accès aux soins est compliqué pour la population. Cette maladie s’attaque aux globules rouges, elle peut aussi atteindre des organes tel que le cerveau. On a récemment découvert dans certains pays d’Asie que des individus développaient une résistance au traitement ATC.

La femelle anophèle (moustique qui vit en zones tropicales) est le vecteur de la maladie. Elle transporte le parasite en elle, nommé plasmodium. Si la femelle pique un individu porteur du paludisme, elle aspire donc un sang infecté (sang contenant des parasites). Ces parasites se reproduisent dans son estomac, par la suite ils vont se diviser et migrer dans les glandes salivaires. Lorsque la femelle va piquer à nouveau elle va donc transmettre ces parasites, l’individu sera alors atteint du paludisme.

L’individu,  une fois atteint de cette maladie dont les parasites se trouvent dans le foie se transforment et se multiplient pour échapper aux défenses du système immunitaire. Le foie va éclater et donc libérer les parasites. Ils vont aller s’attaquer aux globules rouges, ce qui va les faire éclater. Cela va provoquer une série de montée de frissons et de fièvre.

Pour empêcher une épidémie il est très conseillé de se faire dépister pour pouvoir avoir accès au traitement rapidement. On peut aussi faire de la prévention sur l’emploie d’insecticides ou de moustiquaires imprégnées pour la nuit. Pour les femmes enceintes, les nouveaux nés et les enfants on peut pratiquer une chimio-prévention du paludisme saisonniers.

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