Audit Social
Cours : Audit Social. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Sarra757 • 16 Septembre 2019 • Cours • 1 747 Mots (7 Pages) • 570 Vues
Définition d’un système : Un système est un ensemble d’éléments en inter relation dans lequel la modification d’un élément entraine la modification d’après Ludwig Von Bertallanfy. 1937
La complexité est un mélange d’ordre et de désordre et d’aléatoire.
Le 24/10/2017
L’audit :
Le lean-management : c'est-à-dire management fluide, ou on essaye que les gens soit plus responsables, de réduire le gaspillage, mettre en place des systèmes où à la fois chacun est le client de la chaine en amont. Le salarié sur son poste de production ne sera pas uniquement un robot, le salarié sera responsabilisé du produit qu’il fait. On évite les stocks intermédiaires (stock dormant).
La logique intellectuelle. Les consultants ont pour but de mettre en place des logiques intellectuelles.
Rh -> âpres guerre 1980 : management au feeling (psychologue ou on l’es pas, bon contact avec les gens ou pas, ou à l’inverse à la discipline), dominé non pas par le rationnel, (il n’y a que l’expérience qui compte). L’irrationnel (ex recrutement fait à base de scientologie, numérologie, astrologie) -> déblayé en 98, la nécessité était de revenir à des pratiques rationnelles avec des méthodologies rationnelles.
Univers de mondialisation : les entreprises ont besoin d’un certain nombre de choses nouvelles, l’audit que l’on va attendre de ses logiques :
- Une logique de sécurité et de conformité du fonctionnement de l’organisation, les responsable d’organisation, fonctionnaire ont besoin d’avoir un regard extérieur qui leur dise s’ils sont dans les clous ou pas, déjà par rapport de la loi (droit du travail, insécurité, nouvelles technologies…), c’est alors un regard neutre qui va pouvoir dire aux entreprises.
Identifier les risques
- Une logique de management et d’efficacité, c’est une logique stratégique, ou il va falloir définir une stratégie, pour faire face à la mondialisation, de l’innovation, de la qualité.
Identifier les opportunités
L’audit doit être capable de répondre aux entreprises de répondre aux entreprises.
L’audit doit être d’une neutralité bienveillante.
L e terme d’audit est un terme neutre, on n’est pas intéressé aux résultats. L’audit existe depuis bien longtemps qui relève de la comptabilité.
(Expert comptable connait tout, l’expert connait tout sur rien seulement sur un domaine qui est très précis cad une compétence très précise dans un domaine très restreint. Si l’expert est vertical, l’auditeur va être horizontal. Exemple : l’auditeur connait rien sur tout, mais il doit être capable de comprendre les relations qu’il peut avoir dans l’entreprise, avec un regard transversal, global sur l’extérieur). <- deux figures qui s’opposent.
L’auditeur à un rôle pertinent, lui va décider si les actions sont pertinentes dans les stratégies de l’entreprise. Est-ce que mettre en place une nouvelle technologie sa sert véritablement ? Dans les RH ces questions sont venues, est –ce que les experts connaissent vraiment le droit des RH ?
L’auditeur et l’expert sont complémentaires, il faut que l’expert ait fait son travail pour que l’auditeur puisse évaluer si le travail est nécessaire ou pertinent. L’audit n’est pas une inspection.
La fonction conseil que possède aussi le consultant. Une fois que le consultant a audité, constater les risques et opportunité vient le conseil. Par la suite l’entreprise doit faire appeler à un expert pour mettre en pace les conseils de l’auditeur dans l’entreprise.
Donc les fonctions du consultant sont :
- L’audit
- Le constat
- Les conseils
Les conseils de l’audit -> observation interprétative : Ou est ce que on est par rapport à ce qu’il devrait être ?
On va utiliser l’outil « analyse des écarts », il y a ce qu’il devrait être et la loi, est ce que c’est conforme à la loi ?
- Estimer la valeur des écarts,
- Mesurer les écarts entre des objectifs et des résultats
- Mesurer des écarts entre des stratégies (procédures effectives) et les pratiques effectives
Il existe 3 principes :
- Principe d’économie -> pour un résultat donné, on minimise les sorties, Comment faire autant avec moins ? Pour un résultat donné comment minimisé les entrant (matière première, moins de personnes ?)
- Principe d’efficacité -> (la fin justifie les moyens, peu importe les moyens, la seule chose que je vais rendre en compte c’est résultats ex : la délocalisation moyen rapide de réduire les couts de production, plan social pour but augmenter la profitabilité de l’entreprise)
- Principe d’efficience –> c’est l’innovation, plus globale et plus systémique, ex je maintiens les effectifs tout en maintenant les effectifs tout en investissant, maximiser le rapport entre les sorties et les entrées.
Définition : l’audit est une façon d’observer une organisation, pour vérifier qu’elle délivre, effectivement et selon les modalités prévues les produits et services en fonction desquels elle est conçues et dirigées.
La définition vaut pour toutes formes d’audit : sociale, l’entreprise et son métier, l’emploi qu’elle crée, sur les personnels qui occupent les emplois et sur son environnement socio politique et socio culturel.
L’outil central pour la mise œuvre des préconisations dans la gestion des ressources humaines : GPEC
L’audit social va évaluer le degré auquel le mode de fonctionnement de l’entreprise contribue dans les meilleures conditions (efficience) à atteindre le niveau attendu (efficacité).
L’audit : va détecter 3 choses :
- Il détecte des anomalies, tous faits ou situations qui s’écartent des normes/conduites habituelles. Ce que l’on constate, qu’une décision ne produit pas l’effet attendu. Ce qui n’est pas conforme par ex avec la législation
L’anomalie relève des missions
- Les dérives : On va s’intéresser aux régulations (mécanismes, dispositions qui permettent de garder le cap). C’est l’affaire des cadres, qui vont corriger pour essayer de rester dans l’axe de l’objectif.
- Définition : on va mesurer l’origine, on évalue le risque de l’anomalie (négligence du chef, dissimulation du subordonné) et en déterminer les causes et les mécanismes
Les dérives relève des tactiques
- Les dysfonctionnements : Ca va toucher le niveau stratégique, c’est une incohérence structurelle, ce sont les stratégies qui ne sont pas conformes aux stratégies des actionnaires. Cela relève des cadres dirigeants.
Exemple de question au contrôle : qu’est qui différencie une dérive d’un dysfonctionnement avec arguments
Définition :
- Le risque : c’est une occurrence perçu de façon négative par rapport à un référentiel. Un référentiel peut être juridique, technique…C’est un événement susceptible de causer des dommages.
Etudier la nature du risque, en étudier la localisation, l’importance des dommages à redouter, le degré d’occurrence (la fréquence à laquelle le risque va apparaitre).
Criticité= Fréquence x Occurrence
Les opportunités son perçues comme des occurrences positives. L’innovation est un risque positif.
- L’audit va porter son regard sur les résultats qui va émerger de son observation et va les comparer sur les objectifs qui eux ont été déterminé préalablement à l’audit. Compare les résultats aux stratégies.
- L’auditeur va mettre en place des batteries de batteurs d’indicateurs significatifs (tableau de bord...)
Un indicateur : c’est un repère chiffré, pertinent et compréhensible
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