DROIT COURS culture générale première année

Culture générale

La période grecque (-3000 à -150) se caractérise par la prédominance de l’homme, par un modèle d’utopie ( par la prévalence de la prédominance des idées sur le matériel ) ( on est moins le pragmatisme que dans les idéaux) il y a eu une évolution durant cette période ( plus on se rapproche dite romaine pus le déterminisme se fait présent). En revanche, il y a une chose qui n’existe pas au cour de l’époque grecque, c’est la référence à l’argent (commerce, pouvoir financier).

L’organisation politique

Dès lors qu’on parle de la cité état comme Athènes, la grecque n'était pas un pays mais un amalgame de cités états  qui sont des villes indépendantes des unes au autres et qui ne communiquent pas ou très peu entre elles ( lorsqu'elles font la guerre, se défendre mais les seules collaborations de cité sont par l’usage de la force). Chaque cité avait sa structure qui était propre que ce soit politique, économique ou sociale. Ce cas de cité état est repris actuellement par exemple : Dunkerque (communauté de communes ) ou Lille ( euro métropole ) donc l’idée a été réutilisé à l’heure actuelle.

Chaque cité état présente malgré tout quelques points communs avec l’attribution de la citoyenneté ( le droit du sang peu importe l’endroit où l’on naissait ce qui fait renforcer que chaque cité grecque était très renfermées sur elle même, vivre en auto-suffisance ). Par ailleurs deuxième point commun entre toutes les cités grecques, c’est que chacune était mise sous la protection d’un dieu, l’ordre religieux est assigné à administrateur religieux de la cité, les oracles disaient à la population ce qu’il fallait faire vis  à vis de l’évolution  et la prospérité de la société.

Chaque cité a un mode de gouvernance qui lui est propre.

A Athènes, c’est la démocratie où le peuple élisait qui gouvernera et le représentera. L'élection présuppose qu'il n’y a pas d’égalité entre les candidats car entre ceux qui se présente se pensent plus compétent pour administrer la cité.

Il y a une égalité totale entre chaque citoyen. C’est pourquoi Athènes est considérée comme modèle de la démocratie car la souveraineté se retrouve dans chacun des citoyens et se retrouve de manière égale dans chacun des citoyens. La compétence est de mettre en pratique Les citoyens sont compétents de manière égale pour fixer la politique générale, il y a une administration présente pour mettre en œuvre l'organisation politique choisi. Le modèle athénien de démocratie est le modèle parfait car il donne à chaque citoyen la même part de souveraineté. Le citoyen est tout puissant c’est à dire que la volonté du citoyen est absolue, de la même manière que la liberté du citoyen est absolue. La première limite et la liberté de souveraineté des autres. Et la deuxième sont les lois.

La loi protège chaque citoyen de l’autre et chaque citoyen de l’ état ( Constitution). Mais en dehors de cette règle suprême qui n’a que pour finalité d’éviter des abus, chaque citoyen dispose de la plus parfaite liberté de pensée et d’agir. Les métèques sont les étrangers à la cité, qui n’ont pas la citoyenneté, n’ont aucuns pouvoirs collectives. Les esclaves sont considérés comme un moyen de production.

Sparte, était différent d’Athènes, gérontocratie, cherchait à donner une éducation, un dressage pour obéir à une structure militaire.

Sparte est le modèle de la cité guerrière, l'éducation disparaît au profit de la force. A Sparte il n’y avait pas de démocratie, le pouvoir était donné à l’âge.  La société n’évolue jamais, on a un immobilise certain.

Alexandre le grand

Avec son arrivée, il y a eu plusieurs changements politiques. Auparavant, il était dans un système de cité-état qui ne cherchait pas à s’agrandir. Lui a étendu le territoire sur le monde, lequel la pensée grecque allait s’étendre, il y aura ainsi un élargissement de la culture. Par l'imposition de leur culture grecque en ne faisant aucune concession à leur règles et modèle, sans intégrer les nouvelles populations sur les territoires conquis, ce qui amènera à leur chute.

A Sparte il y avait une gérontocratie. On est passé d’un modèle de démocratie parfaite.

La religion

Celle ci était polythéiste (plusieurs dieux) avec un par cité et un dieu au dessus des dieux. C’est une religion où l’on vénère un dieu qui a des caractéristiques qui correspondaient à la cité, qu’il protestait, pas de notion de bien et de mal. Les dieux étaient les guides de la cité et n’étaient pas là pour prôné une morale que chacun devaient suivre. Le dieu n’a pas de clergé, il n’y a as d'organisation ecclésiastique, la religion n’est pas organisé car les prêtres et oracles sont les administrateurs de la cité.

Particularité de la philosophie à l’époque, c’est qu’elle a été tout d’abord détaché de la nature et du fonctionnement du monde pour se concentrer sur l’homme. Et au fur et à mesure, la philosophie s’est progressivement teintée de pragmatisme et surtout a commencé à situer l’homme et l’environnement .Tout d’abord  la première époque, les époques les mathématiciens ont cherché une signification dans les nombres parce qu’ils considéraient que les mathématiques devaient conduire à l’harmonie, c’est ce que conterait le bonheur à l’homme. C’est à dire qu’il n’y a que des proportions parfaites qui pouvait conduire à la sagesse et à l'apaisement.

Deuxième époque, Socrate, Platon, le bonheur se trouve dans l’intelligence. Le bonheur se trouve en soi, donc tout ce qui est en dehors de soi même pas au bonheur car il ne permet pas d'acquérir à la sagesse.

Dans le modèle politique de Platon, l'intellectuel sors du lot et peut diriger. On peut parler de dictature des idées car seul celui qui a la connaissance ou l’intelligence peut fixer un  cap. Ce modèle a été prs dans tous les régimes communistes, tout collectiviser, une élite et la masse. Cela à une incidence juridique dès lors que seul idée que la propriété privée n’a aucun interêt et n’est qu’un outil et ne doit jamais être un tout. La liberté conduit à la souveraineté.

Aujourd’hui c’est à l’opposé de cette idée.

Troisième époque, Aristote, lui se distingue notamment de Platon par son postulat de départ, Platon :l’idée et la base de tout et la réalité n’est qu’une image plus ou moins déformée de l’idée.

Aristote : La réalité sensible existe mais elle n’est qu’un exemple, une tête d’épingle qu’il convient de généraliser. Il ne se dit plus concret, il cherche à donner une cohérence globale. Avec lui, le pragamatise commence à apparaître. L’idée pure l’idée seule doit simplement permettre de s’adapter à la situation. Lorsqu’il propose son modèle politique, il ne le définit pas comme le meilleur système mais comme le meilleur systeme possible. C’est à dire un modèle ne peut pas répondre à une situtaion concrète et donc chaque système politique qu’il propose, il en propose une version impure qui peut n’être que naissance. La monarchie, son système de force de vaincre ses ennemis donc il a une forcedonné par dieu, quand les gens ne croient plus en leur monarque

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