Analyse linéaire d'Automne Malade dans Alcools, Guillaume Apollinaire

Analyse linéaire de Automne Malade dans Alcools, Guillaume Apollinaire

Forme irrégulières

champ lexical de l’Automne

v.1 : voc. Mélioratif de l’automne + personnification de l’Automne

        oxymore entre la maladie et adoré

        → l’Automne est redouté par la maladie

        - Rappel du titre du poème « Automne Malade »

        - « malade » → destin funeste

v.2 : annonce de l’hiver . + utilisation du futur

        évocation du « Tu » → référence à Lamartine ( Romantisme), Apollinaire s’adresse à l’Automne

        utilisation du futur → futur préditif  Qqlch de violent

        assonance en « r » → le danger brute

v.3-4:

        répétition de « quand »

        polyptote du thème de la mort « tu mourras, l’ouragan soufflera »

        CCT → évoque l’idée du temps qui passe, le mouvement // écho avec les fruits tombants de la dernière strophe

        enjambement → impression de mouvement

v.5 : fin de l’automne

v.6-7: évoque l’hiver

Tutoiement de L’Automne → personnification

        évoque l’hiver  → mœurs voc péjoratif

v.8-9 : CCL→ lieu précis

        éperviers → prédateurs

v.10-11 : influence du folklore germanique + créatures imaginaires → mythologie

        référence au poème Nuit Rhénane

        amour malheureux → référence à son amour avec Annie Playden

        lyrisme romantique autour des personnages légendaires

v.12-13 : utilisation du passé composé → signal annonçant la fin du rêve du poète, retour à  la réalité avec un bruit habituel pour le poète

        assonance en « é »

        allitération en « r »

brames du cerf→ la saison de l’amour finie, a saison mentale d’Apollinaire finie

v14-17 : influence lyrique → « o »

répétition « j’aime » → insiste sur son affection pour sa saison mentale

        mélancolie

        évoque le temps qui passe

         le mouvement + les fruits qui ne sont pas ramassés vont pourrir en hiver

        rimes croisées +alexandrin/ octosyllabe

        personnification avec le vb « pleure »

        métaphore entre larmes et feuilles

v.17-22 : vers très courts formant un alexandrin

        accélération du rythme

        voc moderne « un train »

        le temps passe , idée de mouvement

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