Analyse Economique

Teste 1 :

1. Qu’est-ce que la rupture d’un contrat ? Quelles en sont les conséquences attendues ?

1. Contrat et négociation        

1. Sélection adverse        

1. Contrat et Autorité        

1. La théorie du « Signal »        

1. Obligation de performance et compensations monétaires en cas de rupture unilatérale d’un contrat.        

Teste 2 :

1. Information et contrat.        

1. Contrat et confiance : approche objective et approche subjective des relations contractuelles

1. Qu’est-ce que le contrat ? Quelles sont ses fonctions ?        

1. Investissements « spécifiques » et contrat.        

1. Obligation de performance et compensations monétaires en cas de rupture unilatérale d’un contrat.

1. Dans quelles mesures peut-on affirmer que les contrats de longs termes sont efficients relativement aux transactions de courts termes.        

Teste 3 :

1. Définition néoclassique du contrat.

1. Information et contrat.        

1. Contrat et confiance : approche objective et approche subjective des relations contractuelles

1. Risque moral.        

1. Contrat et Autorité        

1. La théorie du « Signal »        

Teste 4 :

1. Contrat et Autorité        

1. Information et contrat.        

1. Contrat et négociation        

1. Qu’est-ce que la rupture d’un contrat ? Quelles en sont les conséquences attendues ?

1. Sélection adverse        

1. Obligation de performance et compensations monétaires en cas de rupture unilatérale d’un contrat.        

Teste 5 :

1. Incertitude et contrat        

1. Couts de transaction et contrat.        

1. Contrat et « relation d’agence »

1. Qu’est-ce que le contrat ? Quelles sont ses fonctions ?

1. Investissements « spécifiques » et contrat.        

1. Définition néoclassique du contrat.

1. Nommer des définitions :

1. ________________________________________________L’autorité implique un pouvoir de subordination. Elle est un moyen permettant de neutraliser les incertitudes pesant sur l’échange. L’autorité c'est le pouvoir qui va être accordé à une personne pour qu’il puisse l’exercer pour coordonner le comportement d’autre, l’autorité implique une subordination. En somme, l’autorité est une institution qui produit de l’efficacité.

L’autorité doit se suffire à elle-même, sans la nécessité du contrôle. Parce que le contrôle est une opération objective alors que l’autorité est un pouvoir discrétionnaire, donc subjectif. L’autorité consiste à gouverner et à décider au mal et au bien.

Deux individus sont en position de contracter, le contrat n’utilise pas nécessairement la subordination. L’autorité permet de contrecarrer l’opportunisme des agents. Dans le cadre d’une organisation économique, par exemple la firme, elle est définie comme une combinaison de contrat et autorité. La firme moderne apparait ainsi comme un arrangement institutionnel, efficient, qui permet par le billet de l’autorité de supprimer tout marchandasse et qui permet le règlement des conflits. Le dirigeant gère les litiges spécifiques, les litiges généraux sont gérés par le contrat.

- Est-ce que l’autorité est compatible avec le contrôle/monitoring ? Elle est un substitut.

- Quand est-ce que l’employeur est amené à contrôler l’activité de son subordonné ? Dans quel domaine ? un objectif qualitatif, une performance. Faut-il un lien hiérarchique ? Non, la qualité du contrôle exige qu’il n’y ait pas d’autorité.

Ainsi, l’autorité économise les couts juridiques/judiciaires. Est-ce que l’autorité exige le recours à un arbitrage ? Non, le recours à l’autorité exige le cout de faire appel à ses arbitrages externes, notamment judiciaires. On ne peut pas faire appel au juge pour contester un ordre qui m’a été donné.

2. ________________________________________________Si les cocontractants ne sont pas parfaitement informés, ne peuvent pas conclure des contrats parfaits. L’asymétrie d’informations et le contrat implicite (un engagement qui n'est pas formel) avec les partenaires permet aux dirigeants de construire une stratégie qui est une barrière à l’entrée pour l’équipe dirigeant concurrente. Le contrat implicite est un engagement non-formel.

Dans cette relation l’information est une ressource rare mais aussi stratégique. L’information est essentielle et constitue un outil de gestion car elle permet aux dirigeants d’exercer un pouvoir sur les actionnaires ou entre les parties.

3. _______________________________________________La négociation génère un cout, la négociation est un processus d’exploitation aléatoire d’un vecteur de prix conduisant à la détermination d’un prix (Pc = Prix du Contrat).

Pour que le contrat soit signé il faudrait définir un Pc qui doit satisfaire 2 conditions: être supérieur à une valeur qu’on appelle le Pmin (le prix minimum exigé par le vendeur pour vendre l’objet) et inferieur à Pmax (le prix maximum qui l’acheteur peut payer pour l’objet). On les appelle Prix de Menace.

Il se trouve que le Pmax dépend de la valeur subjective que l’acheteur associe au bien (jolie, nécessité, etc.). Pmin dépend aussi de la valeur donnée par le vendeur. Pmax et Pmin, en règle général, peuvent être soit de connaissance commune soit de connaissance privé (lorsque le prix est observé correctement par l’acheteur, mais le vendeur ne connait pas, et vice versa).

Ces conditions sont donc nécessaires pour que la négociation aboutisse. Le prix auquel se fera l’échange permet de partager un gain à échange total. Si P(c) cela se fait au profit du vendeur au détriment de l’acheteur alors que si P(c) diminue, cela se fait au profit de l’acheteur et au détriment du vendeur. Donc toute négociation implique un conflit concernant le partage du gain à l’échange total.

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