Bonheur et plaisir
Étude de cas : Bonheur et plaisir. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar MSG 91 • 12 Mai 2021 • Étude de cas • 569 Mots (3 Pages) • 568 Vues
Exercice 5 :
- Les raisons d’identifier bonheur et plaisir sont les suivantes :
Premièrement le lien entre plaisir et bonheur a un sens ambigu. Si le plaisir désigne une satisfaction immédiate d'un désir, qui s'accompagne donc d'une sensation de bien-être ressentie par l'homme, le bonheur paraît alors dépendre du plaisir. Mais le bonheur désigne une satisfaction durable de l’homme, la seule différence entre les deux termes montre que le bonheur privilégie les objets de satisfaction qui peuvent durer, alors que le plaisir privilégierait de son côté immédiat de la satisfaction immédiat.
2) Non car le plaisir est ce que nous ressentons lorsque satisfaisons un désir/besoin. Ainsi c'est une émotion passagère d’éphémère. Par exemple, j'ai soif boire me fait plaisir. Mais cela ne peut être un sentiment durable, il décroît dans le temps jusqu'à la satisfaction d'une autre "envie".
3) Une action peut en effet nous donner une sensation agréable sans être bonne. Par exemple si nous avons un enemi nous serons content qui lui arrive du malheur donc si on lui dit qu’il peut rentrer chez lui car il a plus cours alors qu’il en a encore, il se fera punir cette action n’est pas bonne mais nous donne un sentiment d’agréable car on hait cette personne donc une action peut-être mauvaise et à la fois agréable
4)Le plaisir ne provient pas toujours d’un accomplissement de soi, il peut en effet survenir au hasard. Par exemple quand quand on reçoit une visite de notre famille ou d’un(e) ami(e) , nous n’avons rien accomplis pour l’obtenir, aucun effort ni action et pourtant on l’a et cela nous fait plaisir .
5)Une vie heureuse est-elle une vie de plaisir ? Nous nous demanderons comment penser une vision commune du bonheur synonyme de plaisir, nous verrons dans un premier temps comment définir le concept de bonheur en harmonie et en accord avec la pertinence de la thèse hédoniste, ses limites et les fins qui peuvent être celles de notre existence. Nous devons dans ce cas faire un présupposé à savoir que le bonheur soit défini pour tous, selon les genres de vie et aussi que celui est possible, ou encore devons-nous poser la thèse antagoniste selon laquelle le bonheur serait l’aspiration de tout homme mais que chacun a sa définition particulière du bonheur ; Enfin si nous posons l’idée d’un bonheur au sens d’une totale satisfaction que l’homme vise de manière essentielle et primordiale, devons-nous l’envisager comme un simple idéal inaccessible au quotidien pour l’homme ?
Exercice 1 :
Tout d’abord Kant introduit les termes du sujet avec une annonce de plan « Deux choses remplissent …à la conscience de mon existence » L1-5. De plus il définit le premier axe de plan qui est définit en deux sous parties : « le monde extérieur des sens » et « le temps illimité s de leur mouvement périodique « la première commence à la place … de leur durée » L5-9 Ensuite il définit le deuxième axe de plan qui est aussi définit en deux sous parties : « invisible moi, à ma personnalité », « accessible qu’a l’entendement ». Ensuite il décrit la première partie comme une vision, une première vision (la thèse) d’une multitude innombrable de mondes, nous sommes des créatures selon Kant c’est une caricature de notre monde actuelle, on l’anéantit enfin la deuxième vision marque un contraste car c’est l’antithèse il dit que notre intelligence réhausse notre valeur .
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