LaDissertation.com - Dissertations, fiches de lectures, exemples du BAC
Recherche

Bonheur Et Plaisir

Mémoire : Bonheur Et Plaisir. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  20 Février 2015  •  6 076 Mots (25 Pages)  •  1 512 Vues

Page 1 sur 25

Bonheur et Plaisir

Il arrives que nous nous posons la question du sens de la vie c’est a dire la question de savoir ce qui fais si la vie vaut la peine d’être vécu. lorsqu’on se pose cette question spontanément nous avons l’idée du bien, du juste te du bon. c’est a dire l’idée de moralité, de justice et de bonheur. nous nous disons a nous même qu’une vie poussé a travers le mal ne vaut la peine d’être vécu (ex violer votre père). commenter l’injuste ne rend pas la vie acceptable et puis mener une vie malheureuse ne vaut pas le cout. pourtant dans ces 3 idées le bonheur reste centrale c’est a dire que nous pouvons toujours accepter la vie telle quelle est si elle est heureuse. nous pensons donc que le bonheur c’est la condition de la vie réussie c’est a dire que pour nous être heureux c’est réussir sa vie et a l’inverse réussir sa vie c’est être heureux. nous pouvons tout supporter dans la vie si nous sommes heureux et quand quelqu’un est heureux ça veut dire qu’il a réussit sa vie. En se sens on va dire que le bonheur est un bien pas un mal mais ce n’est pas n’importe quel bien c’est le bien suprême et ça veut dire le plus grand de tout les bien, il n’y a rien au dessus. donc le bonheur c’est ce que vise tout hommes a travers tout les autres biens, on désir d’onc d’être heureux. le bonheur ne reçoit pas la valeur grâce aux autre. je ne désir pas être heureux pour avoir une belle femme mais je désir une belle femme pour être heureux. mais tout ce que je désir est en vu du bonheur. on va dire que le bonheur est un désirable absolu c’est a dire lorsque je suis heureux je n’ai plus de désir, je suis entièrement comblé et c’est pourquoi il ne viendrais a l’idée a quoi bon être heureux ou bien pourquoi désirer être heureux ? le bonheur n’est jamais moyen il est toujours fin et c’est une fin en soit. si on me demande mais qu’est-ce que le bonheur et que faufil faire pour l’atteindre, alors la cette question nous met dans l’embarras car nous avons tous le désir d’être heureux et nous avons une idées vague du bonheur, et quand on nous demande préciser notre penser, 2 choses nous arrivent, soit personnes n’est d’accord ou les mots nous manquent. le fait est donc que les hommes qui s’entendent si bien sur le mot ne s’entendent pas sur la chose, nous appelons tous bonheur ce que nous désirons absolument mais nous ne désirons pas tous les mêmes choses. face a cette difficulté, le langage commun décide de fixer une définition mais par convention : on s’imagine que le bonheur c’est un genre de plaisir ou un état de complète satisfaction mais qui ne serrait donc différent du plaisir ordinaire que par 2 aspects : la durée et l’intensité et nous disons que nous sommes heures lorsque tout notre être trouve un contentement sans reste, une joie qui ne souffrirait d’aucun manque. il y a aussi un art de vivre, première chose, pour être heureux il faudrait maximiser le plaisir autant que possible, l’intensifier, le prolonger, et bien sur éviter les douleurs. il ne faut pas que la douleur perturbe le plaisir. on ne méprise pas les plaisirs. il est possible d’éprouver du plaisir sans être heures, une vie heureuse est une vie réussie et avoir du plaisir ne veut pas forcement dire qu’on a réussit sa vie, celui qui a des plaisirs sexuel sans amour ne peut pas être heureux , c’est pourquoi il faute que le bonheur soit autre que le plaisir et il n’est pas non plus la sommes de tout les plaisirs tout simplement parce qu’une seule vie ne suffirait pas, car les plaisirs sont infinis et la vie est trop courte. il apparait que le bonheur n’est rien d’évident tandis que le malheur a l’évidence, nous ne le désirons pas mais il est facile a obtenir. il y a donc une asymétrie entre le bonheur et le malheur (ex: face au malheur nous ressentons une injonction morale face a autrui en revanche on ne se dit pas qu’on doit faire le bonheur d’autrui) le bonheur est d’abord pour soit. si seul le malheur est possible et que le bonheur est illusoire, pourquoi avons nous ce plaisir, c’est parce que c’est un leurre, c’est comme une piège pour continuer a vivre, a moins qu’on ne dise que le bonheur est totalement autre chose que le plaisir, il est distincts mais inséparable comme le recto et le verso d’une feuille, je ne peut pas être heureux sans le plaisir mais ça ne veut pas dire que je suis heureux si j’ai du plaisir. d’ou notre question : le bonheur est-il identique au plaisir ou n’est-il qu’une illusion ?

I) Philosophie du bonheur hédonisme :

une position philosophique, c’est une thèse qui fait que le plaisir est le chemin et le but de la vie heureuse. puisque le bonheur aussi bien que le plaisir concerne aussi bien la vie c’est a dire devenir heureux, il faut définir ce qu’est que vivre, qu’est ce qui fait la nature profonde de la vie qu’il s’agit de rendre bonne car elle ne l’est pas forcément, donc la vie se manifeste a nous du fait que nous éprouvants des sensation, nous sentons les choses mais aussi nous nous sentons entrain de sentir. la vie c’est donc un flux indéfini de sensations mais tantôt la sensation est positive c’est a dire du plaisir tantôt elle est négative et il s’agit d’une douleur, la vie est une variation continue de sensation entre douleur et plaisir. il faut trouver une technique de vie capable de nous rendre heureux, ces techniques de vie sont des exercices spirituels, une pratiques concrète sont faits pour nous rendre heureux et ont un principe, il faut un point de départ, elle prend en compte ce qu’est la vie. Ce point de départ, situation «  habitue-toi a penser que la mort n’est rien par rapport a nous ; car tout bien et tout mal est dans la sensation or la mort est privation de sensation » de Epiqure.

Premièrement nous devant inférer que ce principe que durant la vie nous éprouvent des sensations qu’il est urgent de prendre soin d’éprouver du plaisir plutôt que de faire autre chose c’est a dire se préoccuper des craintes de la mort chez le vivant ce qui n’est pas la même chose de profiter de la vie sous la crainte de la mort. la mort elle-même n’est pas une sensation car sinon pendant ma vie j’aurais pu éprouver cette sensation donc elle ne peut pas nous faire de mal durant notre vie, tant que nous sommes en vie elle ne peut pas nous causer du tord c’est dans ce sens qu’il faut se dire que la mort n’est rien du tout car quand nous somme là, elle n’est pas et quand elle est présente, nous, nous ne somme plus là donc pourquoi avoir peur de la mort. nous ^pouvons avoir peur de la souffrance car on l’éprouve durant la vie mais la mort nous ne la sentons pas donc il n’y a pas de sens d’avoir peur de

...

Télécharger au format  txt (35.3 Kb)   pdf (283.2 Kb)   docx (19.5 Kb)  
Voir 24 pages de plus »
Uniquement disponible sur LaDissertation.com