APP en neurologie
Dissertation : APP en neurologie. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Ludivine Lemoine • 27 Octobre 2024 • Dissertation • 1 128 Mots (5 Pages) • 24 Vues
Nom prénom Étudiant : LEMOINE Ludivine
Semestre 1 APP2
Formateur référent du suivi pédagogique : Christelle GUERANDEL
Discipline du stage : Soins de courte durée
I. Description de l’activité selon le contexte QQOQC
Je suis étudiante en première année du diplôme d’infirmier. Je suis en stage pendant 5 semaines en médecine 2 c’est-à-dire la neurologie et la rhumatologie. Ce service de soins de courte durée accueille jusqu’à 22 patients répartis en deux secteurs.
La situation que j’ai observée permet d’étudier les examens complémentaires sur une durée de 72H pour les patients concernés par un Accident Cardio Vasculaire ischémique, cependant je vais me concentrer sur la patiente que j’ai prise en charge.
Nous sommes à J1. Il est environ 7h45, nous commençons le tour du secteur, après avoir effectué les prélèvements sanguins. Je dois vérifier la glycémie de ma patiente matin, midi et soir car en plus de l’examen complémentaire suite à son AVC, ma patiente est diabétique. Cette vérification s’effectue grâce à un Hémato Gluco Test (HGT). Je prépare le matériel nécessaire dans un plateau
- un lecteur de glycémie
- des bandelettes
- un stylo auto piqueur à usage strictement personnel
- des lancettes
- un coton imbibé de sérum physiologique pour nettoyer le doigt avant de piquer
Madame R a une glycémie à 1,14mg/dl. Elle n’a pas besoin d’insuline et peut prendre son petit déjeuner.
Nous repassons plus tard dans la matinée, aux alentours de 11h du matin, le soin de nursing de Madame R a été réalisé au préalable et j’entre pour lui expliquer que nous venons faire un électro cardiogramme.
Madame R est allongée, elle connaît la procédure et nous laisse nous installer.
Je commence par poser les dix électrodes adhésives dont nous avons besoin :
- une au-dessus des genoux
- une au niveau des poignets poignet
- une au quatrième espace intercostal droit
- une en face du point précédent
- une en dessous
- une sous le mamelon gauche
- une quasiment entre les deux seins
- une vers l’aisselle droite
Ensuite, je dispose les câbles numérotés de C1 à C6 pour la partie du torse et les quatre derniers fonctionnent avec un système de couleur. Ainsi le câble de couleur vert se retrouve sur le genou gauche, le câble jaune va sur la main gauche, le rouge sur la main droite et le noir sur le genou gauche.
Une fois le tout mis en place, j’enregistre le nom de la patiente et j’attends que les champs électriques créés par le cœur soient stables pour pouvoir enregistrer et transférer au médecin.
Enfin, un Holter lui a ensuite été posé en fin de journée aux alentours de 16h. C’est un petit boîtier muni d’électrodes qui permet d'enregistrer le rythme et la fréquence cardiaque.
II. Motivation / ressenti
Étant en stage dans un service de neurologie où de nombreux cas / pathologies d’accident cardiovasculaire sont admis, je trouve important de comprendre la raison pour laquelle il est nécessaire d’effectuer des examens complémentaires et ainsi s’interroger sur les risques potentiels ou les complications suite à un accident cardiovasculaire.
C’est pourquoi dès le début de mon stage, je me suis souvent interrogée en vue de connaître les raisons à la fin de ce dernier.
III. Questionnement
Pourquoi faut-il effectuer un Électro Cardiogramme (ECG) sur 72h pour les patients atteints d’un AVC ?
En quoi est-il important de contrôler la glycémie pendant trois jours ?
Qu’elle réponse la pose d’un Holter va-t-elle nous apporter ?
Pourquoi d’autres examens ne sont-ils pas nécessaires afin d’approfondir la zone du cerveau atteint par un AVC et éviter les récidives ?
Y a-t-il des patients plus susceptibles d’être impactés / concernés par un AVC ?
IV. Identification des savoirs (minimum 3 savoir de sources différentes)
- Le rôle de l’ECG
« L’ECG fait partie des examens de suivi des troubles du rythme cardiaque, de l’angine de poitrine, des suites d’un infarctus du myocarde (le muscle cardiaque), d’une péricardite (inflammation du péricarde), de l’hypertension artérielle, des rétrécissements des grosses artères et des artères coronaires, de l’insuffisance cardiaque chronique, de certaines maladies pulmonaires (qui augmentent la pression dans les cavités cardiaques), etc. »
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