Etude de cas La Soulterie

« LE CAS LA SOULTERIE »

Analyse de la situation de l’entreprise

Question 1

Définitions :

La logique entrepreneuriale est fondée sur la prise de risque de l’entrepreneur. Elle se définit par la mise en œuvre d’un projet collectif cohérent par l’entrepreneur tout en tenant compte des compétences, des ressources et des contraintes liées à son environnement dans sa recherche de création d’entreprise.

L’entrepreneur doit être doté d’une capacité d’anticipation et d’innovation (= Force de création et de proposition de projet).

La logique managériale se distingue de la logique entrepreneuriale, car il s’agit d’une logique de gestion des ressources existantes et non d’une logique d’accroissement des ressources de l’entreprise, afin d’assurer la pérennité de l’entreprise. Le manager en charge de cette gestion, doit au travers de son efficacité et de son efficience, rechercher la performance de son entreprise.

La création de l’entreprise La Soulterie, est à l’origine la conséquence d’un besoin d’accomplissement de la part des repreneurs M. et Mme PRÉVALMA, qui étaient anciens salariés de 2 grands groupes industriels internationaux , ont toujours manifestés un besoin d’indépendance sur le plan professionnel.

Nous pouvons observer que Alain et Conception PRÉVALMA, possèdent certaines caractéristiques des entrepreneurs : dynamique et motivé l’entrepreneur a un besoin de réalisation, indépendant, il n’aime pas se plier à l’autorité, intuitif, créatif et opportuniste, il cherche à innover.

En 1977, M. et Mme PRÉVALMA ont pris la décision de faire l’acquisition d’une petite librairie située dans le 12ème arrondissement de Paris. L’activité principale repose sur la vente de papiers journaux (Presse).

Selon Joseph Schumpeter, le champ de l’entrepreneuriat recouvre la création d’activités nouvelles sur le marché ou le développement d’activités existantes. Dans le cas de La Soufflerie, le mode de création d’une entreprise utilisé est celui de « la reprise » par le rachat d’un fonds de commerce. Nous pouvons donc en conclure, que la société la Soulterie relève d’une logique entrepreneuriale.

Question 2

Les finalités de l’entreprise traduisent sa raison d’être. Elles reflètent les aspirations de son ou ses créateurs et lui apportent sa légitimité.

Les finalités que les deux dirigeants de la Soulterie cherchent à atteindre pour leur entreprise sont les suivantes :

1.Une finalité financière

La finalité financière ne peut être écartée, car, d’elle dépend la pérennité de l’entreprise. La Société doit donc générer du profit afin d’en assurer la pérennité.

2.Une finalité économique

Pour le développement de l’entreprise La Soulterie, les deux dirigeants cherchent à augmenter leur rayon d’activité géographique et à cibler une nouvelle clientèle.

En effet, la capacité d’écoute de Mme PREVALMA avait permis à l’entreprise de fidéliser

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