Les nouvelles routes de la soie

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Table des matières :

Introduction :        3

Partie I : Quelle est la nature et l’origine du conflit ? Quelles sont les liens qui existent entre les acteurs et les parties prenantes de ce projet ?        4

A - Nature et origine du conflit        4

B - Acteurs et parties prenantes ainsi que les liens entre eux        5

Partie II : Quelles sont les enjeux de ce conflit ? Son évolution ? Le bilan et les conséquence de celui-ci ?        7

A - Enjeux du conflits `        7

B - Évolution du conflit        8

C - Bilan et conséquences du conflit        11

BIBLIOGRAPHIE :        13

Introduction :

             Les nouvelles routes de la soie, aussi connues sous le nom de  (BRI) est une initiative chinoise qui fait référence aux routes de la soie datant des siècles passés ; plus connues comme étant un ancien réseau de route commerciale reliant l’Asie et l’Europe.

Ces routes ont pris le nom de la marchandise la plus précieuse qui y circulait à l’époque : la soie. Ce sont les chinois qui ont été pendant longtemps les seuls à détenir le secret de fabrication.  

Depuis, ce nom a été repris pour nommer le projet grandiose et difficile qu’à déployé le président chinois, Monsieur Xi Jinping en 2013. Un projet qui a pour but de remettre ses routes à jour avec des moyens de transaction comme l’autoroute, le train… afin de stimuler les échanges marchands avec l’Europe et l’Afrique par exemple.

De plus, on peut dire qu’officiellement, ce projet permettrait à la Chine d’exporter sa surcapacité industrielle vers l’Europe et l’Afrique mais aussi à renforcer son influence économique et politique dans toute l’Asie centrale.

Néanmoins, beaucoup de pays, comme les grandes puissances européennes restent sceptiques sur ce projet. En effet, celles-ci se méfient de la Chine et ne souhaitent pas que celle-ci propage le communisme par exemple dans l’Asie mineur ou encore impose ses règles par la suite sur les différents marchés. De plus, on peut voir que la construction de ces nouvelles routes de la soie stimule en grande majorité le marché de l’emploie chinois, les populations des pays comme celle du Kazakhstan commence à s’en plaindre par exemple.

Après ça, on peut se demander quelles sont les nouvelles problématiques apportées par les nouvelles routes de la soie selon Xi Jinping ?

Nous verrons dans une première partie les natures et origines du conflit, puis les acteurs et les parties prenantes et nous analyserons les liens entre eux. Dans une seconde partie nous verrons les enjeux de ce conflit, l’évolution de celui-ci et pour finir le bilan et les conséquences.

Partie I : Quelle est la nature et l’origine du conflit ? Quelles sont les liens qui existent entre les acteurs et les parties prenantes de ce projet ?  

A - Nature et origine du conflit

Quel est l’origine du projet des nouvelle route de la soie ?

           Ce projet a été évoqué pour la première fois par le président chinois Xi Jinping en septembre 2013, lors d’une visite dans une université au Kazakhstan.

Celui-ci consiste a créer plusieurs routes terrestre et maritimes afin de relier le continent Eurasiatique mais aussi le continent Africain et ainsi promouvoir la connexion entre les pays de ces continents.

Cependant, nous constatons un certain nombre d’obstacles…

En effet, le premier obstacle auquel se heurte ce projet est les différentes politiques économiques des pays. Si la Chine essaie de prônée le libre-échange à travers ce projet, les infrastructures terrestres, maritimes, énergétiques et de communications montrent bien que ce projet a pour objectif de fluidifier les échanges mondiaux.

En revanche, certains pays comme la France voit dans ce projet une manière de coloniser économiquement les pays avec la surproduction industrielle chinoise, on peut penser que ce projet a pour but d’écouler cette surproduction plus facilement et donc d’envahir les pays concernés par ces produits et non de faire des échanges « Win Win » comme peut l’espérer l’Italie par exemple.

Il est important aussi de rappeler que la Chine est un pays communiste, puisque le président chinois Xi Jinping est à la tête du parti communiste chinois. Celui-ci prône le communisme moderne (nouvelle version du communisme après Gorbatchev), qui lui est accès sur le libre-échange.

Pour illustrer ça, on peut prendre l’exemple de l’armée militaire chinoise.

En effet, celle-ci n’a jamais eu de base militaire en dehors du pays et depuis deux ans, le gouvernement chinois a décidé d’y remédier. On peut donc voir que cette forme de communisme est moins dangereuse que celle que nous avons pu connaître dans le siècle dernier mais elle est tout de même préoccupante et à surveiller.

L’origine du conflit se trouve également dans les intérêts économiques de chaque pays, qui eux sont différents.

En effet, si l’intérêt économique explicite de la Chine est de renforcer les liens et les échanges entre les pays et continents voisins. Il existe un intérêt implicite connu de tous qui est : écouler la surcapacité industrielle chinoise, comme nous avons pu le citer précédemment.

Cependant on peut dire que ce projet a aussi pour but pour la Chine de toujours plus produire afin d’enrichir continuellement le pays et donc au fil du temps : devenir un géant de production et inonder le marché européen. Cela permettrait à la Chine d’avoir une plus grosse arme et investir toujours plus pur que, à terme, elle deviennent plus puissante que les États-Unis.

On peut également se montrer méfiant sur ce projet car il est principalement financer par les banques chinoise et asiatique et à terme il se peut que les marchandises européennes soient plus taxées par exemple en raison de la non-collaboration dans le projet titanesque chinois lors de sa construction. C’est un élément à prendre en compte et qui montre la complexité des décisions prisent à ce sujet.

En effet, si l’Europe participe à la construction de ce projet, elle laisse la porte ouverte à plusieurs risques géopolitiques lié au communisme, mais aussi augmente sa dépendance économique à la Chine. Et de l’autre côté, si elle décide de e pas prendre parti de ce projet, elle offre à la Chine la possibilité de faire pression avec par exemple des taxes ou des droits de douane qu’appliquera la Chine sur les produits européens une fois le projet mené à terme.

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