Problème de santé au travail

Question 1 : Le type de lésion qui peut survenir dans un entrepôt de fabrication de portes et châssis sont des douleurs de type dorsalgie et lombalgie ainsi que des entorses et foulures. Ces lésions représentent un cas sur trois des lésions dans ce secteur. De plus, les maux de dos sont importants dans ce genre d’entreprise, considérant qu’il y a 23% des lésions qui concernent le tronc. Ils y a aussi des risques de coupures, plaies, contusions et les échardes. Ces dernières représentent 50% des lésions dans ce genre d’entreprise. Il y a aussi des risques d’amputations (1% des cas d’accidents), de déchirures internes (0.5%) et des arrachements osseux (5.4%). Or, il faut noter que près d’un accident sur deux, dans ce genre d’entreprise, concerne les membres supérieurs.

Question 2:

L’employeur doit s’assurer qu’il a assez d’espace pour permettre à Robert de transporter les cadres de portes. Sinon, un réaménagement de l’usine peut être nécessaire pour faire en sorte que l’espace soit suffisant pour éviter les heurts et les risques de coincements. Il devrait également réduire le plus possible la manutention manuelle.

Question 3 : Jean ne devrait pas porter des vêtements amples car c’est derniers peuvent être entrainés par une pièce mobile de la plieuse.

Question 4 : Jean et Eugène doivent, comme mesure de prévention, porter un équipement de protection individuel (lunettes, bottes, tablier, casque) lorsqu’ils utilisent le banc de scie pour se protéger contre la projection de particules, de poussières et les éclaboussures de toutes sortes.

De son côté, l’employeur doit aussi mettre en place des mesures de prévention pour protéger les travailleurs qui utilisent le banc de scie. En effet, l’employeur devrait pouvoir la machine de protecteurs afin que Robert et Eugene n’ait pas accès à la zone dangereuse de la scie lorsqu’elle est en fonction, tels que le verrouillage, dispositifs de sécurité électrique, gardes, mise à la terre, commande marche-arrêt. Il doit aussi adapter le poste de travail pour limiter les risques ergonomiques qui produise de la fatigue et pour éviter que l’opérateur  prenne des positions inadéquates ou exécute de mauvais gestes. Il doit aussi de bien entretenir le banc de scie. Il doit s’assurer de maintenir la lame du banc de scie en bon état car l’utilisation de machines en mauvais état ou endommagé peuvent augmenter le risque pour la sécurité des travailleurs.

Question 5 : Madame Nadapoulos travaille sur la presse à vapeur. Il y a cependant plusieurs dangers qui guettent les opérateurs de presses à vapeur. Les principaux risques associés à l’utilisation des presses à vapeur sont des risques d’écrasement, de brulure et de coincement.

En effet, il y a un risque d’écrasement des membres supérieurs de madame Nadapoulos, si la presse se ferme accidentellement, qui peut s’accompagner de brulures plus ou moins graves. Il y a aussi un risque de brulure lorsque la vapeur s’échappe sur les côtés de la machine (lorsque le couvercle du plateau descend et écrase la robe) ou lorsque madame Nadapoulos saisit la robe dans la machine pour la sortir de la presse. Elle doit la saisir su bout des doigts à cause de la chaleur. Il y a aussi des risques de brulure lorsqu’elle est en contact avec une autre surface chaude. Finalement, il y a des risques de coincement à l’arrière de la presse, ce qui peut occasionner une blessure à madame Nadopoulos.

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