Entreprise / BioBox de Lola
Étude de cas : Entreprise / BioBox de Lola. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Axel • 28 Novembre 2021 • Étude de cas • 1 079 Mots (5 Pages) • 1 630 Vues
CEJM
1.1.
Le marché : Plus de 320 box en France, 900 000 personnes abonnés à une box mensuelle (hausse rapide depuis quelques années).
Box beauté en 1er position, puis box enfants et cuisine.
Le larché des box ensuelles oar abonnemnt est en penessoir; l'offre de box mensuelles est en effete de plus en plus importante, marquant un accroisseùent
La demande : 76% de femmes, 18-24 ans = - de 20% des abonnés, les 25-34 représentent 40% des abonnés. - de 15% des box dépasse les 10 000 abonnés
Revenu des ménages augmente ainsi que le pouvoir d’achat
Box beauté en 1er position, puis box enfants et cuisine.
L'offre : de nombreux concurrents : FoodizBox, gastronomiz, kitchen trotter, eat your box
Offre spécialisée : bio, culinaire, voyage…
Produit respectueux de l'environnement, engagement dvlp durable
Mode de fixation des prix : 72% d’entre elles sont entre coûte entre 20 et 50 euros
24% de tarif inférieur à 20 euros et seulement 4% supérieur à 50 euros.
Marché par abonnement.
30% de marge “nécessaire” pour survivre.
Bon prix d'acquisition bonne communication nécessaire
Parfois les entreprises ne payent même pas les produits à l'intérieur de la box, parfois même rémunérer pour les mettre à l'intérieur.
1.2.
Les différents agents économiques en relation avec la biobox de lola sont : les ménages, les banques (entité financière) et les administrations publiques.
Si le pouvoir d’achat, le revenu disponible et les salaires nets augmente les ménages seront plus enclin à consommer des biens et services cette croissance est donc positive pour l’implantation de la biobox de lola.
1.3.
Les étapes nécessaires à la création de l'entreprise de Lola Thessier sont les suivantes :
- Trouver une idée : c'est déjà le cas, la vente de box mensuelle par abonnement incluant des produits issus de l'agriculture biologique.
- Réaliser une étude de marché (analyse du micro-environnement) : cette étude permettra de découvrir le marché en question et ses tendances de consommation ; en identifiant les concurrents potentiels de La BioBox de Lola sur le marché des "box" mensuelles, grâce à leur positionnement, leur gamme tarifaire, etc. En France, il existe un peu plus de 320 box. Les box beauté arrivent en première position, suivi par les box pour enfant puis culinaires. Il serait donc judicieux pour Mme Lola Thessier de développer son organisation dans ce dernier domaine. L'étude de marché permet de connaître les acheteurs, qui sont près de 900 000 personnes abonnées à une box mensuelle en France. Ces acheteurs sont à 76% des femmes et 40% d'entre ces clients ont entre 25 et 34 ans. Une étude de marché permet aussi de connaître les besoins des acheteurs. Sur le marché des box, il ressort que les clients ont besoin d'une véritable expérience client et de produits de qualité. De plus, une étude de marché permettra aussi de connaître les différents prix proposés par les acteurs de ce marché. En effet, le prix des box joue un rôle important dans leur succès : 72% d'entre elles ont un prix affiché entre 20 et 50€. 24% proposent un tarif inférieur à 20€. 4% d'entre eux proposent des box haut de gamme avec un prix affiché supérieur à 50€. Selon David Azuoulay, il est difficile de se développer dans ce secteur sans un minimum de 30% de marge sur une box.
- Monter un business plan : ou même plusieurs, comme l'a fait FoodizBox. Un business plan permet de vérifier la faisabilité et la viabilité d'un projet de création d'entreprise. Il fera aussi preuve d'une création d'entreprise auprès des banques et des investisseurs et permettra ainsi de les convaincre.
- Comme dit juste au-dessus, pour créer une entreprise, Lola Thessier aura besoin de faire appel à des banques et autres investisseurs (e.g. : crowdfunding, etc.) pour pouvoir financer son projet et ainsi le mettre à bien.
- Trouver des aides et subventions ;
- Choisir un statut juridique ;
- Réaliser les formalités administratives.
2.1. La finalité économique est celle du profit, et de la pérennité, comme toute entreprise.
Les finalités sociales et sociétales sont engagées. Elle a pour but de faire une affaire respectueuse de l’environnement, fidèle aux clients, qui respecte les droits de l’Homme. Le but est également d’être humain et respectueux envers tous ses collaborateurs, équipe, fournisseurs, clients, et parties prenantes.
Enfin, elle a inscrit tout cela dans sa charte RSE, et applique ces critères aussi à ses fournisseurs lors de leur sélection.
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